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Lice Phantomhive
 | | Je poste le premier chapitre de ma fiction.
Chapitre 1 : Une rencontre improbable
« Un manoir en flamme, deux jumeaux courant pour sauver leurs vies. Des gens masqués se défoulant sur eux, des cris et des pleurs. »
Voilà ce dont la jeune Night rêvait chaque nuit depuis 2 ans. Elle se réveilla en sursaut, sa collègue vint près d'elle. - Night ? La prénommée leva la tête. Toujours les cauchemars ? Elle hocha la tête. Tu ne veux rien me dire. - C'est du passé, Elisa. Il faut que l'on prépare le réveil des maîtres, dit-elle en se levant.
Night est une jeune fille de 12 ans qui travaille chez les Parkinson depuis 2 ans. Elle porte de long cheveux gris ardoise et des yeux bleus. Elle a un tatouage en forme de pentacle sur la nuque qu'elle dissimule avec un foulard. Dans le manoir, il y a lord Théophile et son fils Donatien. Lady Parkinson est morte avant son arrivée. Donatien a 17 ans et n'a pas de fiancée. Il n'y a que 4 domestiques : Night, Elisa, Charles (valet de Donatien) et Edgar (cuisinier et cocher). Elisa se débarbouilla tandis que Night se demanda pourquoi elle faisait encore ce rêve. Ses parents ainsi que son jumeau avaient péri dans l'incendie. - Night ! La jeune fille sursauta. Désolé mais tu peux y aller, répondit sa collègue. - Ce n'est rien, j'étais perdu dans mes pensées. Elle se leva et mit son uniforme avant de se diriger vers la cuisine pour préparer le petit-déjeuner avec Elisa et Edgar. Charles était déjà dans la cuisine. - Bonjour, firent les filles. - Bonjour Night, Elisa, répondit Charles. Bien dormi ? - Oui, mais pas Night, dit Elisa. - Encore ces cauchemars ? demanda Edgar. - Je m'y habitue. Je vais réveiller les maîtres, dépêchez-vous de finir ! - Bien, Night ! La jeune domestique monta pour réveiller lord Théophile. Elle toqua avant de rentrer dans la chambre où régnait une odeur de sang et de sexe. Il n'y avait personne dans le lit sauf le concerné. - Bonjour, maître ! Il faut vous réveiller, dit-elle d'une voix calme en tirant les rideaux. - Viens me faire plaisir, Nighty, répondit le lord d'une voix endormie. Elle ne voulait pas, bien sûr, mais elle savait ce qu'elle risque à désobéir. Au début, elle protesta mais son corps est couvert aujourd'hui de fines cicatrices, donc elle s'approcha. Elle poussa le drap, le lord dormait nu, son sexe à demi dressé. Elle se mit à genoux et le prit en main, le branla un peu avant de le mettre en bouche. Elle fit quelques mouvements de va-et-vient avant que son maître se vide dans sa bouche. Elle avala avant de se lever. - C'est bien, Nighty. Va réveiller mon fils, j'arrive, dit-il avant de la congédier de la main. - Bien, maître, répondit-elle avant de s'incliner et de sortir de la pièce. Elle se dirigea vers la chambre du jeune Donatien, les larmes aux yeux, comme d'habitude. Elle a l'impression de trahir son jumeau, Ciel qu'elle aime de tout son cœur. Elle toqua et entendit un « Entre, Night ! ». Elle pénétra dans la pièce, Donatien était déjà assis au bord du lit. - Night, c'est mon père ? demanda-t-il avant de l'inviter à s'asseoir à ses côtés. - Oui, maître. - Donatien, pas maître. Tu le sais bien quand on est seul, tu peux m'appeler par mon prénom. Tu as une petite mine, je trouve. Encore ces cauchemars ? Et tu ne veux rien me dire encore. - Oui. C'est du passé, Donatien. - Ton anniversaire est quand ? Elle le regarda avec de grands yeux. - Pourquoi cette question ? - Je me suis dit que depuis que tu es là, je ne sais toujours pas ta date de naissance, c'est tout. - Dans un mois, le 14 décembre. - Tu n'es jamais sortir du manoir, n'est-ce pas ? - Non, votre père me l'a interdit. - Alors, je crois avoir le cadeau idéal. Elle allait protester quand Donatien lui un doigt devant la bouche. Il faut mieux descendre. Pars en premier, je te rejoins. Night descendit en pensant au « cadeau » de Donatien : sortir du manoir. Même avant, elle ne sortait jamais de la propriété. Elle ne voulait pas, pas sans lui. Elle arriva dans la salle à manger où lord Théophile était déjà attablé. - Où est mon fils ? - Il arrive, maître. Donatien arriva à ce moment. - Bonjour, père. Il s'asseyait avant de commencer à manger. - Night, il y aura le majordome de la maison Phantomhive qui doit venir chercher un paquet qui se trouve dans mon secrétaire. Tu lui remettras en main propre. La jeune fille n'écouta plus, Phantomhive ! Night ! Elle sursauta. - Pardon maître. - Il doit passer dans la matinée, nous ne serons pas là. - Bien maître. Les deux hommes finirent leur repas puis partirent avec Charles et Edgar. il ne restait plus que les deux servantes. Elles firent la vaisselle. - Elisa, tu feras les chambres, dit Night. - Ok, Night. Elle alla à l'étage.
Est-ce possible que son frère a pu survivre ? Au plus profond de son coeur, elle le savait et son tatouage le prouvait mais elle devait jamais approcher son jumeau, rester dans l'ombre pour ne pas le salir avec son "impureté". Elle entendit la sonette et alla ouvrir. Un homme aux cheveux ébènes et aux yeux carmins était à la porte. Il la regarda avec étonnement puis intérêt. - Je suis Sebastian, le majordome des Phantomhive, dit-il. - Oui, mon maître m'a prévenu. Veuillez me suivre, je vais la chercher. Ils montèrent à l'étage où Elisa était en train de nettoyer les pièces, elle les apperçut. - Qui est-ce, Night ? demanda-t-elle, curieuse. - Le majordome d'un client du maître. Continue le travail ! Elle hocha la tête, ils continuèrent jusqu'à une porte. La jeune fille ouvrit la porte, prit une clé dans l'un des tiroirs dans le bureau et se dirigea vers le secrétaire qu'elle ouvrit. Elle en sortit un paquet qu'elle confia au majordome. - Tenez ! Je peux vous poser une question. - Oui, laquelle ? - Je croyais que tous les Phantomhive avaient péri dans l'incendie de leur manoir, il y a deux ans. Alors, comment se fait-il... - Que je sois à leurs services ? Elle hocha la tête. Le comte Phantomhive est l'unique survivant. Ses parents sont morts. Puis- je vous dire une chose ? - Oui, allez-y. - Vous lui ressemblez beaucoup. - Ah bon ? Je ne savais pas, je ne sors jamais d'ici. - Je crois que je vais vous laisser. Il commença à faire demi-tour mais Night le retenit. - Attendez ! Il se retourna vers elle. Vous pouvez remettre quelque chose au comte. Elle retira l'anneau qu'elle avait au doigt. Tenez, faites-y attention, il est important pour moi. Sebastian allait parler mais la servante interropit. Faites-le ! - Bien mais vous me devez des explications. Elle hocha la tête et le raccompagna vers la porte d'entrée. Au revoir, Night ! - Au revoir ! Elle referma la porte en de demandant si c'était une bonne idée de lui confier son anneau. C'est le dernier cadeau que son jumeau lui est fait. | |
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Lice Phantomhive
 | | Voilà la suite, bonne lecture !
Chapitre 2 : Une révélation étrange
Le majordome pensait à cette jeune fille, Night. Elle ressemblait à son maître et lui avait confié un anneau à lui montrer. Il arriva au manoir quand il aperçut les trois employés : Finny, Bard et May Linn en train de l'attendre. - Que se passe-t-il ? demanda-t-il. - Rien, Sebastian. Nous avons fini les tâches que vous nous avez conifiés, dirent-ils en choeur. - Bien. Le diable de majordome monta vers le bureau de comte, il frappa à la porte et attendit. - Entrez, dit-on de l'autre côté. Il entra dans la pièce où un jeune garçon de douze ans était attablé à un bureau. Son maître leva la tête. - Sebastian, as-tu la marchandise ? demanda-t-il. - Oui, my lord, répondit-il avant de s'incliner. Puis-je vous dire une chose ? demanda-t-il avec un petit sourire. Le comte parut surpris mais acquierça. Au manoir Parkinson, j'ai rencontré une jeune personne vous ressemblant étrangement, maître. Il aperçut son maître le regarder avec de grands yeux, il continua. Elle pensait que tous les Phantomhive morts mais je l'informai du contraire. Elle me demanda également de vous montrer quelque chose. Il sortit de sa veste l'anneau qu'il tendit au comte, qu'il le prenna délicatement.
Le comte observa le bijou en se demandant si l'impossible s'était produit. Est-ce que sa jumelle pouvait avoir survécue ? Cette bague était frappée des armoiries familiales et gravé du nom qu'il avait choisir pour elle : Lice. - Sebastian, t'a-t-elle dit son nom ? - Oui, Night. Pourquoi, vous la connaissez, jeune maître ? Le comte se leva et alla près de la fenêtre. Il garda le silence quelques instants avant de répondre. - Oui, je la connais très bien. Mais, je la croyais qu'elle était morte, dit-il d'une voix émue. Sebastian était étonné, le comte était maître de ses émotions. Il ne montrait jamais ses faiblesses alors que maintenant le majordome perçut de la tristesse dans sa voix. Mais, qui est-elle ?
POV Night Quand Sebastian quitta le manoir, Elisa vient me rejoindre. - C'est qui ? demanda-t-elle. - Je te l'ai déjà dit, répondis-je, énervée. - Je sais, pas la peine de t'énerver. Mais, le nom ? - Phantomhive. - Le fabricant de jouet et de confiseries ? ! - Oui ! On entendit la voiture arriver. Nos maîtres arrivèrent de bonne humeur. - Night ! Suis Donatien, il a besoin de tes services, dit Lord Théophile. Je m'inclinai. - Oui, maître. Je suis son fils jusqu'à sa chambre. On s'installa sur son lit. - J'ai rencontré la femme de ma vie. - Ah bon, comment elle s'appelle ? Donatien se confie souvent à moi, pourquoi je ne sais pas ? - Marie, elle est blonde avec de magnifiques yeux chocolat. - Mais ? - Elle est prostituée. - Aïe, comment vous allez faire ? - Je ne sais pas, et toi, qu'est-ce qui s'est passé ? - Rien, Donatien, lui répondis-je avec un petit sourire. - On dirait que tu as appris une bonne nouvelle. Tu souris rarement. - On peut dire ça. puis-je vous dire un secret ? dis-je avec un grand sérieux. - Oui, bien sûr. Vas-y ! - J'ai oublié de vous dire quelque chose sur moi. Vous connaissez le comte Phantomhive ? - De nom mais je ne l'ai jamais vu. C'est son majordome qui est passé tout à l'heure. Pourquoi ? - Oui, c'est lui. Parce que ... je suis sa soeur. Donatien me regarda avec de grands yeux. - Tu es quoi ? - Je m'appelle Nightmare Phantomhive, la soeur jumelle du comte Ciel Phantomhive. - Pourqoui tu es là, alors ? - Je le croyais mort avant que son majordome ne me dise le contraire. - Le sait-il ? - Je pense que oui, j'ai confié à son domestique un objet que je suis la seule à posséder. - Il va venir te chercher, à ton avis. - Je ne sais pas. - Ma pauvre Night, tu as dû supporter les sévices de mon père. Tu sais quoi, je crois qu'il devait le savoir. C'est pourquoi il ne te laissait pas sortir. - Peut-être. Il me prenna les mains, me forçant à le regarder. - Je ferais tout ce que je pourrais pour que tu sors d'ici, Nightmare. - Pas ce prénom-là, je le déteste. Appelez-moi, Lice. C'est le prénom que mon frère a choisi pour moi. - D'accord, Lice. Fin POV
- Maître, qui est cette Night ? demanda Sebastian. - Ma soeur. - Vous avez une soeur. Vous n'avez jamais parlé d'elle, jeune maître. - C'est un sujet douleureux, Sebastian. - Vous êtes sûr que cette fille soit celle que vous espérez, dit -il avec un petit sourire. Le comte commença à se mettre en colère. - Tu vois, cette bague. Je lui ai offret à notre 10e anniversaire. - Excusez, my lord, répondit-il en s'inclinant. Vous êtes donc jumeaux ? - Oui, malheureusement. Il vit l'air étonnée de son majordome. Mon père l' a appelée Nightmare car une légende famiale raconte que quand deux jumeaux de sexe opposé naissent, ils s'aimèrent de façon incesteuse. Je crois que tu comprends maintenant. - Oui, votre père a caché son existence pour empêcher le déhonneur. - Mais, cela devait arriver, dit le comte. Seul, mes parents, ma tante Frances et la Reine sont au courant de l'existance de Lice. - Lice ? Vous l'aimiez déjà ? - C'est le nom que j'ai choisi pour elle, un anagramme de mon prénom et oui, je l'aime. Elle va bien ? Sebastian réfléchit. - Je pense que oui, mais on dirait que je lui doit obéissance comme à vous. - Peut-être que mon père avait raison. Il pensait que l'on partagait la même âme, cela pourrait expliquer ça. - Il est très rare qu'une âme se scie en deux pour intégrer deux corps. Elle devrait avoir le sceau ? - Oui, possible. le comte retouna à son bureau pour écrire une missive qu'il cacheta avant de la confier à son majordome. Fais porte ceci à lord Parkinson, rapidement. - Yes, my lord, répondit Sebastian avant de s'incliner et de sortir de la pièce. | |
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Invité Invité
 | | Elle est vraiment intéressante ta fiction. J'ai hâte de lire la suite. | |
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Lice Phantomhive
 | | Merci, Sebastian ! Voilà la suite ! Chapitre 3 : Une soirée étonnante (partie 1)Raiting : mention de viol et de violence.Au bout d'une heure, Donatien et Night sortirent de la pièce. La servante partit pour la cuisine pour aider, Elisa et Edgar étaient en train de préparer le repas. - Vous avez besoin d'aide ? demanda Night. - Non, c'est bientôt fin, dit le cuisinier avant de rajouter la touche final au plat. Prenez cela, rajouta-t-il en tenant les assiettes aux filles. Elles les prirent et se dirigèrent vers la salle à manger où les maîtres attendèrent. Elle le servirent quand la sonnette se fit entendre. - Night, va voir ! ordonna lord Théophile. - Oui, maître, répodit-elle en s'inclinant, Elle alla vers la porte, qu'elle ouvrit pour découvrir Sebastian. - Bonjour miss Lice, dit-il en s'inclinant. - Bonjour, que faites-vous ici et seul ? - Je dois donner une lettre de mon maître à lord Parkinson. Mon jeune maître m'a tout expliqué. - Ah bon ? - Oui, puis-je vous poser une question ? Night hôcha la tête. Avez-vous un dessin qui a soudain apparu sur vous ? - Oui, celui-là, dit-elle en défaisant son foulard. Sebastian apperçut le sceau du pacte sur sa nuque, son jeune maître et sa soeur paratge la même âme. Il l'effleura du bout des doigts. Donatien arriva à ce moment, se mit près de la porte et observa la scène de loin. - Votre frère a une marque identique à celle-ce à un autre endroit, rajoutant-il en remontant ses doigts vers la joue. Vous savez qu'un jeune homme nous observe, murmura-t-il à son oreille. Tenez, pouvez-vous donner ceci à lord Parkinson, my lady, finit-il en liu tentant del'autre main la lettre. - Oui, vous avez lu son contenu ? - Non, mais faites confiance à votre frère. - Je le fais déjà, Sebastian. Au revoir. - Au revoir, my lady, en s'inclinant. Il s'en alla, Night ferma la porte. - Tu veux que je lui donne, Lice ? murmura Donatien à l'oreille de la servante. Elle se retourna pour liu faire face. - Vous nous espionnez depuis longtemps ? - Non, je sais seulement que tu dois donner une missive à mon père. Passe-la, moi ! Elle lui remit l'enveloppe. Viens on va savoir son contenu. Ils revenèrent dans la pièce, Donatien s'approcha de son père. Il y a une lettre pour vous, père. Il lui tendit, lord Théophile la décacheta et la parcourut des yeux. - Night, prévient Edgar. Il y aura une personne de plus à souper. - Bien, maître. - Père, que dit cette lettre ? demanda Donatien. - Le comte Phantomhive veut me voir pour me parler de choses importantes. Je vais lui indiquer qu'il peut venir ce soir. Elisa, va me ramener de quoi écrire. Elle hôcha la tête avant d'aller dans son bureau et de revenir avec le nécessaire. Il écrivit quelques minutes avant de le confier à Charles. Apporte cela au comte. Le domestique partit faire sa mission. Lord Théophile demanda à Egdar de l'amenr dans les bas quartiers pour se détendre, il proposa à son fils de l'accompagner. Celui-ci refusa ploiment, son père partit donc seul. Pendant ce temps, Elisa partit faire le nettoyage des pièces importantes tandis que Night débarassa la table, fit la vaisselle. Un plus tard, Donatien arriva dans la pièce. - Ca va, Lice ? Elle se retourna pour le voir. - Ah, c'est vous. Oui, ne vous inquiétez pas. Il la souleve pour l'asseoir sur le plan de travail, heureusement vide de toute vaiselle. Hé, descendez- moi de là ! - Non ! Je sais que cette soirée va être dure pour toi. Promet-moi de partir avec ton frère. Elle baissa la tête. - Non, il ne faut pas qu'il salisse le nom des Phantomhive en ayant une soeur servante. Donatien redressa sa tête. - Ne dis pas ça ! Tu es du même sang que lui, il ne va pas de laisser avec mon père. Il ne fera pas lamême erreur que moi. - Un sang impur, voilà ce que l'on a. Qu'est-ce que vous racontez ? - J'avais une soeur, Caroline. Elle avait trois ans de moins, elle servit de "jouet" à mon père jusqu'au jour où il joua au jeu de la pluie. Le jeu de la pluie est un jeu cruel que lord Théophile a crée, Le "jouet" était attachée parallèlement au sol à quelques centimètres, assez pour que quelqu'un passe en dessous. Le "jouet" est coupée plusieurs fois pour que le sang tombe. L'un des participant se plaçait en dessous, abusait d'elle en étant mouillé de son sang. Night en fit une seule fois l'expérience. - Il le faisait avec sa fille, s'indigna-telle. - Oui mais elle se vida de son sang. Pour ma mère, cette tragédie fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Elle mit fin à ses jours. - Je suis désolée. - Ce n'est pas ta faute ! Attend-moi là, j'arrive. Il sortit de la pièce avant d'y rentrer quelques minutes plus tard avec un paquet. Tiens, je voulais te l'offrir à ton anniversaire mais je crois que cette soirée est une occassion de la porter. Il déballa et Night vit une très belle robe bleu nuit. - Elle est slendide mais comment voulez-vous que je la mette sans éveiller les spupçons de votre père ? - Dis-lui que je t'ai ardonnée de la mettre. -D'accord, descendez-moi de là sinon j'aurais du mal à l'enfiler. Donatien l'aida à descendre et l'embrassa sur la joue. Il déposa le paquet sur le plan de travail. Night commença la préparation du dîner et demanda à Elisa de continuer car elle se prépara. Elle prit le paquet et alla se changer dans la chambre mais elle eut du mal à fermer la robe, elle sentit quelqu'un l'aider. - Merci ! dit-elle en se retournant. - De rien mais pourquoi Donatien t'offre une robe ? - C'est compliqué, Charles. Lord Théophileest rentré ? - Oui, Donatien lui parle, sûrement de ta tenue. - Night, Viens ici ! cria Lord Théophile. Elle sortit de la chambre avec Charles sur ses talons et alla voir le père de Donatien. - Vous m'avez appelé, maître ? - Tu es très belle. Tu as eu une bonne idée, mon fils ! Night , tu accueilleras notre invité. - Bien, maître. Les deux nobles allèrent dans le salon pendant que les autres restèrent avec Night. - Magnifique, dirent Edgar et Elisa. - Merci. La sonnette retendit, Edgar et Elisa allèrent en cuisine, Charles alla prévenir les maîtres pendant que Night allait ouvrir. - Bonsoir et bienvenue au manoir Parkinson ! dit-ell d'une voix calme. Venez, ja vias vous conduire à mon maître. Elle commença à se diriger quand elle sentit que quelqu'un la retenait, elle se retourna pour voir son jumeau. - Tiens, je crois que c'est à toi, dit-il en lui remettant sa bague. Tu es très belle ! rajouta-t-il. - Merci ! Ils se dirgèrent vers le salon où Night frappa à la porte. - Entrez, dit lord Théophile. Elle ouvrit la porte et laissa passer le comte et son majordome. Night, reste ici quelques instants. Elle s'inclina avant d'y pénétrer. Bonsoir monsieur le comte ! Quel plaisir de vous recevoir dans mon humble manoir ! - Bonsoir lord Parkinson ! Je ne savais pas que vous pris de nouveaux domestiques. - Ah, vous parlez de Night. Elle ne sort du manoir, elle est trop faible. Je l'ai recueillie , il y a deux ans et je la considère comme ma fille. Donatien et Night le regardeèrent, étonnés. Son fils tendit la main vers Night, qui était près de lui et la força à s'asseoir sur ses genoux pour se calmer. - Je vais le tuer, dit-il dans un murmure à la jeune fille. - Calmez-vous, la vengeance est un plat à consommer glacé,répondit-il doucement. - Night, Charles, prévenez en cuisine que nous allons passer à table, dit le maître des lieux. Night se leva et suivit Charles en cuisine. - Night, le comte est toi, vous vous ressemblez, dit Charles. - Je sais, Charles. Viens ! Ils entrèrent dans la pièce où Edgar er Elisa étaient. - C'est bon, ça commence, dit-elle. Elisa, tu peux dire aux maîtres que je ne me sens pas bien. Je vais prendre l'air. - Ok, Night. Elle sortit dans le jardin, elle ne pouvait pas rester là-bas alors que Lord Théophile allait la salir en racontant ses sévices à son frère. Elle ne savait pas combien de temps elle restait là. | |
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Petite soeur
 | | rien à redire, j'ai beau lire, j'adore!!!!  | |
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Lice Phantomhive
 | | Merci, Alii ! Ca fait plaisir ! | |
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Lice Phantomhive
 | | La suite !
Chapitre 4 : Une soirée étonnante (partie 2)
POV Night Mon frère ne voudra plus jamais me parler quand il aurait entendu le récit de lord Théophile. Je commençai à pleurer. - Vous allez attraper froid, my lady ! Je me tournai vers la personne qui était là : le majordome de mon frère, Sebastian. - Ah, c'est vous ! Que faites-vous, là ? - Je viens voir si vous allez bien, mais vous pleurez. Il mit un genou à terre devant moi, qui était assis sur un banc. - J'ai seulement une poussière dans l'oeil. Ne vous inquétez pas, comment va Ciel ? - Votre frère est inquiet pour vous. - Lice ! s'exclama une voix que je connais bien. J'aperçus mon jumeau arriver. Ca va ? - Ciel ! dis-je, heureuse. Bien, mais que fais-tu, ici ? Tu ne devais pas être avec lord Parkinson. Mon double s'assit à mes côtés, il me parut plus sombre à ma dernière phrase. - Ne me parle plus de cet homme ! dit-il d'une vois dure. Je le regardai avant de lui prendre la main. Mais, tu pleures. - Tu n'es pas fâché contre moi ? Il parut surpris. - Mais, pourquoi tu dis cela ? Je ne pourrai jamais être fâcher avec toi. Je suis désolé, Lice, dit-il d'une voix honteuse. - Pour ce que lord Théophile a fait. Tout ce qui s'est passé n'est pas de ta faute, Ciel. Te savoir en vie est un très beau cadeau. - J'aurai dû être là ! Son fils semble t'appécier grandement, à ce que je vois ? dit-il d'une voix énervé. Je souriai, il est jaloux. - Ne t'inquiète pas, Ciel ! Je n'aime que toi, le rassurai-je en l'embrassant chastement sur les lèvres. Sebastian nous regarda comme s'il attendait à ce que mon frère me repousse. Pour Donatien, je lui rappelle sa soeur morte.
On entendit des cris venant du manoir. Je me levai pour me précipiter à l'intérieur, suivi de mon jumeau etde son majordome. Je vis Donatien se disputer avec son père. Charles tenait le futur lord qui était sur le point de frapper lord Théophile, qui était lui-même retenu par Edgar. Elisa était en train de pleurer et se précipita vers moi. - Night ! s'exclama-t-elle. - Que se passe-t-il ? - Le maître a parlé de toi et cela a énervé monsieur Donatien. - Donatien, calmez-vous ! - Il le savait ! Lice, il le savait. C'est pourquoi tu restais ici, me répondit-il en me regardant. - Je m'en doutais. Maintenant, comportez-vous en lord, dis-je aux deux hommes. Théophile et Donatien me regardèrent avec de grands yeux, comme le reste de l'assistance. - Tu le savais et tu n'as rien dit, dit lord Parkinson, calme. - Oui. Maintenant...
Tout à coup, on entendit une vitre se briser. On se retourna vers un étrange personnage : un homme ou une femme avec de long cheveux cheveux rouges avec des lunettes et des vêtements de la même couleur. - Ce n'est pas bon, dit-il en sortant un livre de quelque part. Il doit mourrir, il est inscrit dans ma liste sinon Willy..., continua-t-il en désignant lord Théophile avant de se rendre compte de la présence des autres. Sebastian, s'exclam-t-il en se précipitant vers lui, avant d'être arrêter par son pieden plein visage. - Grell, que fais-tu ici ? demanda-t-il. - Mon boulot, Sebastian, répondit-il après s'être relevé. Et toi, tu viens me voir ? Je m'approchai de Ciel et lui murmurai à l'oreille : - Qui est-ce ? - Grell Sutcliff. - Qu'est-ce qu'il fait aves une tronçonneuse ? Grell se retourna vers moi avant de regarder mon frère et de nouveau moi. - Je vois double ou quoi ? Depuis quand le mioche est devenu deux ? dit-il. - C'est toi, "le mioche", Ciel ? demandai-je . Il hôcha la tête, indigné. On est de sexe différent, ça ne se voit pas Réfléchissez un peu, à moins que le coup de Sebastian vous a rendu ou vous l'étiez déjà, dis-je à Grell. - Quel est tom nom nom, petite garce ? - Lice Phantomhive, bloody. - Comme le mioche. Il se trouva avec un couteau en argent sous la gorge, Sebastian n'a pas apprécié le surnom que Grell m'a donnée. - Si tu insultes encore une fois ma maîtresse, tu es mort avec votre accord, jeune maître ? demanda-t-il en regardant mon jumeau. - Tout à fait, Sebastian, répondit-il avec un demi-sourire. - Ok, je cromprends. tu pourrais me laisser faire mon boulot, Sebastian ? dit Grell avec un sourire. Le majordome recula en rangeant le couteau. - Edgar, écarte-toi ! Vous autres, aussi, dis-je. Ils reculèrent tous. Grell s'approcha de lord Théophile, dangereusement. Sutcliff s'enfonça sa machine dans l'abdomen de l'homme. On apperçut des pellicules en sortir, des séquences de sa vie défilèrent devant nos yeux. Le corps mort du lord retomba au sol dans un grand silence. - Voilà, c'est fait ! Willy va être content, dit Grell. - Mais, c'est qui ? demandai-je. "C'est quoi ces pellicules ?" dis-je par télépathie. - C'est un dieu de la mort et c'était une lanterne cinématique, Lice, répondit mon frère. Je le regardai dans les yeux. - Tu m'as entendu. - Oui, je te rappelle qu'on le faisait quand on était jeunes. - Je sais mais je croyais que la séparation l'avait fait disparaître. Et comment tu sais cela ? - On le connais. Grell s'approcha de Sebastian et lui attrapa la bras. - Sebastian ! -Grell est toujours comme ça ? demandai-je à Ciel en lui désignant la scène qui se passait sous nos yeux. - Oui, malheureusement. - Je plains Sebastian. Le dieu de la mort voulut embrasser ce dernier mais il se décala assez pour que Sutcliff se prenne le mur en plein visage. - Sutcliff, je crois que vous n'avez plus rien à faire ici, dit le comte. - Personne ne m'apprécie à se juste valeur. Je m'en vais, bye Sebastian ! A la prochaine, dit-il en sortant par la fenêtre brisée. Je soupirai sous le regard amusé de mon frère. - Enfin, parti ! Je me tournai vers Donatien.Vous allez faire quoi, maintenant ? - Je vais prendre la place de mon père er garder les domestiques. - Tant mieux, Donatien. Prenez soin de vous ! - Toi aussi, Lice. - On rentre au manoir, décida mon jumeau. Veuillez nous excuser ! - Bien sûr, monsieur le comte. Faites bon voyage ! - Au revoir, Donatien ! - Au revoir, Lice ! On sortit du manoir Parkinson en compagnie en Sebastian. Nous entrîmes dansla voiture qui nous ramena chez nous. Fin POV | |
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Lice Phantomhive
 | | La suite ! Deux chapitre d'un coup ! Chapitre 5 : Le début d'une nouvelle vie
POV LiceEn arrivant sur place, je remarquai la similitude avec le manoir avant l'incendie. Sebastian aidai Ciel et moi à descendre. Mon jumeau se mit derrière moi, m'entourant de ses bras. - Alors, comment tu trouves ? me murmura-t-il à l'oreille. - Comme avant, répondis-je avant de m'appuyer un peu plus sur lui. - Je suis heureux de t'entendre dire ça. Il m'embrassa sur le cou. - Arrête, Ciel. Mais il continua pour me taquiner, alors je me frottai un peu plus sur son entrejambe. Je l'entendis gémir contre moi. C'est de ta faute ! Il arrêta pour me retourner vers lui et m'embrasser foguesement. Au bout de quelques minutes, on se sépara l'un de l'autre. Ciel mit son front contre le mien. - On rentre. Il reprit une respiration normale comme moi. On prit la direction de la maison, main dans la main. Sebastian ouvrit la porte et nous invita à entrer. L'entrée était comme dans mes souvenirs. On entendit des pas précipités venant dans notre direction. Je vis plusieurs personnes dont mes tantes Angelina et Frances mais aussi, ma cousine, Elizabeth. Il y avait également une jeune femme aux cheveux rouges et de gros lunettes, un homme blond fumant une cigarette et un jeune garçon blond avec des barrettes. Ciel regarda notre famille, il reserra la prise de sa main dans la mienne. - Lice, je te présente les domestiques : May Linn, Bardroy et Finnian. Je vous présente ..., commença-t-il. - Que fait-elle ici ? demanda tante Frances, énervée. - Elle est ici chez elle, ma tante, répondit mon jumeau, très calmement. - Mon neveu, elle est ... - Qui est-elle ? demanda madame Red. - Cela suffit ! déclara Ciel. Sebastian, accompagne Lice dans ma chambre. J'allai répondre quand il me caressa la joue. On continuera ce que l'on a commencé tout à l'heure. - D'accord, Ciel. Bonsoir mes tantes, Elizabeth ! dis-je avant de suivre Sebastian. Fin POVPOV CielQuand ma jumelle était hors de vue, Lizzy se précipita dans mes bras. - Ciel ! Qui est-elle ? - Ma soeur jumelle, Lizzy. Ma fiancée et madame Red me regardèrent. Pour en savoir plus, demandez à tante Frances. Je me dirigea vers l'escalier quand la mère d'Elizabeth m'interpella : - Mon neveu, vous n'allez pas la laisser rester ici ? - Bien sûr ! Je ne vais pas la laisser partir maintenant. Au revoir ! Je vis mes domestiques avec Tanaka. - Elle va rester ici, monsieur, demandèrent-ils. - Oui. Ils hochèrent la tête. Je montai vers ma chambre et vis Sebastian arrivé dans ma direction. - Jeune maître ! - Sebastian, est-elle bien installée ? - Oui, jeune maître. J'aillai dans ma chambre suivi de Sebastian, Lice était déjà dans le lit vêtue d'une de mes chemise de nuit. - Déjà ? demanda-t-elle. Je m'approchai du lit et m'assis. - Oui, tante Frances va devoir va devoir expliquer à Lizzy et à madame Red. Je m'embrassai doucement. Sebastian, je suis fatigué. Il me changea sous le regard de ma jumelle, je me retrouvai dans la même tenue qu'elle. Tu peux disposer ! Sebastian s'inclina et partit. Maintenat à nous ! Je m'approchai d'elle et l'embrassa de nouveau. Fin POVPOV LiceSa main descendit le long de mon flanc tout en frôlant délicatement ma peau. Il quémanda rapidement l'entrée de ma bouche. Je frisonnai légèrement sous ses douces caresses et lui accordai ce qu'il me demanda. Sa langue vint caresser amoureusement la mienne, tandis que sa main caresser mon ventre et remonta insensiblement vers ma poitrine. Ses lèvres quittèrent les miennes et glissèrent sur mon cou, où il déposa une traînée de petits baisiers. Sa main avait enfin atteint son but, et se montra très carressante sur mon sein. Je laissai échapper un léger gémissement de plaisir. Ses lèvres revenèrent sur les miennes, je me décalai pour mordiller son lobe de l'oreille et je pouvais entendre son gémissement de plaisir. Ciel m'embrassa doucement tout en me forçant à me rallonger. - Tu es belle, Lice, me murmura-t-il au creux de l'oreille. Ses lèvres glissèrent à nouveau dans mon cou et l'une de ses mains s'attaqua à un de mes seins. Il se montra très doux et patient dans ses caresses. Je me mordis la lèvre inférieure. Mon jumeau releva la tête avec un sourire coquin. - Je t'aime. On arrêta pour reprendre notre souffle. Nous n'étions plus qu'un, un seul corps, un seul coeur et qu'une seule âme. - Je t'aime, Ciel, répondis-je. - Viens là, dit-il en me rapprochant de lui. Je me trouvai dos à lui, dans ses bras. Bonne nuit, Lice, rajouta-t-il en m'embrassant. - Bonne nuit, Ciel. On s'endormit rapidement. Fin POV Chapitre 6 : Une journée ordinaire.
Le lendemain, Sebastian alla réveiller ses jeunes maîtres après avoir confié les tâches journalières à faire aux domestiques. Il rentra dans la chambre où les jumeaux dormaient encore. il tira les rideaux pour faire entrer la lumière, réveillant ainsi Lice. Elle ouvrit les yeux et aperçut le majordome. - Bonjour Sebastian, dit-elle d'une voix endormie. - Bonjour, jeune maîtresse. Bien dormi ? - Très bien, pas un seul cauchemar. Tu veux que je réveille Ciel. Elle s'approcha de son frère et lui murmura. Ciel, lève-toi ! Le comte remua. - Encore cinq minutes, Lili... LICE, s'écria-t-il en se relevant brusquement. Il regarda sa jumelle. Tu es bien là ? Sa soeur lui souria. - Oui, Ciel. Ce n'est pas un rêve. Maintenant, on va manger, répondit-il en se retournant vers Sebastian. Il fit un petit sourire à l'attitude de son jeune maître. - Ce matin, je vous ai préparé du saumon poché et une salade à la menthe. Comme accompagnement il y a des toasts, des scones et du pain de campagne cuits au four. Que désirez-vous ? - Des scones..., dit le comte. - Moi, des toasts, répondit Lice. - Ce parfum... C'est du thé de Ceylan, aujourd'hui ? - Oui. Aujourd'hui, c'est du Royal Doulton, répondit le marjordome. J'ai choisi le service bleu et blanc de Wedgwood. Les deux enfants prirent leur petit-déjeuner. Ciel fut habillé d'un ensemble vert et sa soeur d'une robe de la même couleur. Ils allèrent dans le bureau du comte où il travailla et Lice livrait un ouvrage. Au bout de deux heures, quelqu'un toqua à la porte. La comtesse leva les yeux et regarda son jumeau. - Entrez ! dit Ciel. La porte s'ouvrit et Sebastian entra. Que se passe-t-il, Sebastian ? - Il y a une lettre de la Reine qui vient d'arriver, jeune maître. Le majordome remit le pli pendant que sa jeune maîtresse s'approcha de son frère. Il l'ouvrit et la parcourut des yeux. - Tiens, Lice. Lis ! Il la tendit à sa jumelle. - "Mon cher petit, j'ai appris que vous aviez trouvé votre soeur. J'en suis heureuse pour vous deux, mais il y a une affaire qui m'inquiète. De jeunes femmes de nobles familles sont trouvées sans vie de notre ville, elles étaient allées chez le vocomte de Druitt. La police déploie toutes ses ressources nécessaires pour trouver le coupable mais on ignore toujours son identité. Je vous demande de trouver le meutrier le plus vite possible et sans incident avec l'aide du Corbeau.
Victoria."
Je crois que tu as une affaire, Ciel. Mais, qui est ce Corbeau ? - Sebastian, passe-moi le journal, ordonna Ciel. Il lui remit et le lut. Le Corbeau est le comte Vessalius. C'est l'un des Nobles Diaboliques, ils sont au nombre de quatre : les Vessalius (le Corbeau), les Trancy (l'Araignée), les Firebutler (la Salamandre) et nous. Il faut que l'inquiètude de sa Majesté disparaisse. - Je ne savais pas. - Même, si cela ne m'enchante guère d'aller chez lui. - Tu es déjà aller chez le vicomte ? demanda la comtesse. Sebastian fit un sourire moqueur que remarqua Lice. - Sebastian ! Dit Ciel. Malheureusement, oui. - Cela devait être amusant, vu le sourire de Sebastian, répondit Lice avec amusement. Allez, explique ! Sinon, j'ordonne à Sebastian de me dire. Ciel regarda sa soeur pour voir si elle serait capable de le faire. Il ne dit aucun mot. D'accord, commença sa jumelle et se retrouvant vers son majordome. Sebastian ? demanda-t-elle avec un sourire qui ressemble à ceux du démon. - Yes, my Lady ! dit-il en s'inclinant. - Je t'ordonne de m'expliquer... - Lice ! C'est bon, je vais te le dire, lui coupa son frère. Tu te rappelles hier quand je t'ai dit que l'on avait déjà rencontré Sutcliff. - Oui, dit sa jumelle en s'asseyant sur l'un des accourdoirs du fauteuil de son double. - A l'époque, il se faisait passer pour le majordome de madame Red. Il y avait eu des prostituées tuées à Londres. - Tu parles de l'affaire de Jack l'Eventeur, j'en ai entendu parlé. - La Reine m'avait demandé d'arrêter le meutrier. Après des recherches menées par Sebastian, on pensait que c'était le vicomte de Druitt. Il donnait justement une fête mais étant donné que les femmes se faisaient attaquer, il fallut se déguiser, continua le comte en baisant la tête. - Attends, tu veux dire que tu t'es habillé en fille. Un silence lui répondit. Ah, je comprends ! La comtesse éclata de rire. Tu as dû mettre un corset. - Lice ! Ce n'est pas drôle ! - Désolé, Ciel. Alors, c'était qui ? demanda-t-elle. - Grell Sutcliff et madame Red, répondit Sebastian. Lice regarda, surprise son frère pour confirmer. Il hôcha la tête. - Pourquoi ? - Elle était jalouse des femmes qui pouvaient avoir des enfants mais qui s'en débarrassent et elle a recontré Grell lors du premier meutre. Elle a failli mourrir lors de l'intervention de Sebastian, elle s'est pris un coup de tronçonneuse. - Ciel, je peux t'accompagner ? - Non ! - Bien, si tu veux t'habiller en fille de nouveau. Ciel lui lança un regard noir. - Jeune maître, votre soeur a raison, dit Sebastian. - Ne t'inquiète pas ! Je te rappelles que grâce à toi, je bénéficie d'une excellente protection : un diable de majordome, répondit-elle avec un sourire pour Sebastian. - Merci, jeune maîtresse ! Ciel installa sa jumelle sur ces genoux. Ils restaient quelques instants ainsi. Lice s'inquièta du silence du comte. - Ciel ? Qu'est-ce qui se passe ? dit-elle à voix basse. - Je réfléchis. D'accord, tu viens mais tu feras attention. - Oui, répondit'elle en l'embrassant doucement. | |
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Lice Phantomhive
 | | Voilà le reste des chapitres que j'ai écrit. Bonne lecture ! Chapitre 7 : L'alliance entre démons (partie 1)
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Ciel écrivit une missive au comte Vessalius pour le convier au manoir. Il la confia à son majordome. - Remets-la au comte ! dit Ciel. - Yes, my Lord ! répondit Sebastian en s'inclinant. Il partit en laissant les jumeaux entre eux.
POV Sebastian J'étais arrivé devant la demeure des Vessalius. Je sonnai à la porte, quelqu'un ouvrit. - Bienvenue chez les Vessalius ! Que puis-je faire pour vous ? dit le jeune homme. - Je viens remettre un pli pour le comte Vessalius, dis-je. Il parut gêné. - Le Comte n'est pas là pour un instant. Puis-je le prendre pour lui remettre ? rajouta-t-il. - Mon maître m'a demandé de le remettre en main propre. A ce moment-là, on entendit une voiture arriver. Un jeune homme sauta de la place du cocher et alla ouvrir la porte. Un jeune garçon en sortit, il était souriant. - Liam ! dit le jeune homme. - Oui, Gilbert ? répondit-il en s'inclinant. - Qui est-ce, Gil ? demanda le garçon au fameux Gilbert. - Je ne sais pas, Oz. Qui êtes-vous ? demanda-t-il avant de voir mes yeux. Ah, je vois. Vous travaillez avec qui ? - Je suis Sebastian Michaelis, le majordome de la maison Phantomhive, répondis-je avec un sourire. C'est un démon, pensai-je. C'est bien ma veine, les démons n'ont pas l'habitude de travailler ensemble. Mon jeune maître m'a demandé de remettre cette lettre au comte Vessalius, dis-je en sortant le document de ma veste. Le jeune garçon me la prit en souriant. - C'est moi, le comte Oz Vessalius. Il la lut avant de la remettre à son majordome. Vous travaillez pour le comte Ciel Phantomhive ? - Et sa soeur, LIce. Vous êtes le Corbeau, je présume ? Il hocha la tête, il décacheta l'enveloppe et la parcourut des yeux. Il se tourna vers son majordome. - Gil, on est invité chez les Phantomhive poour l'heure du thé, dit en souriant. Il me regarda. Dites à vos maîtres que je serai là. Je m'inclinai un peu. - J'en informerai mes maîtres, dis-je avant de partir.
Je rentrai vers le manoir, j'apperçus ma jeune maîtresse assise sur les marches. Elle ressemblait beaucoup à son frère, mais sa partie d'âme est différente, plus sombre. Elle leva la tête vers moi et me sourit. J'étais intrigué de voir le visage de mon jeune maître, souriant. J'arrivai à sa hauteur, m'inclinant devant elle. - Que se passe-t-il, jeune maîtresse ? Elle émit un petit rire. - Rien, Sebastian. Je t'attendai, alors ? - Le comte Vessalius arriva à l'heure du thé, dis-je avec un petit sourire. Mes yeux étaient devenus rouges quelques secondes en pensant à l'autre démon. - Il s'est passé quelque chose d'autre ? Tu m'as l'air contrarié, dit-elle en s'approchant de moi. Elle posa sa main sur ma poitrine. Tu as eu rapidement les yeux carmin. Je la regardai très légèrement étonné. - Il y a rien, jeune maîtresse, dis-je. - Bien, si tu ne veux rien dire, libre à toi. On le découvra assez tôt. Viens, Ciel doit nous attendre, dit-elle en me prenant la main naturellement. Je me laissai guider jusqu'au coukoir menant au bureau du jeune maître.
- Jeune maîtresse ? demandai-je. Elle se tourna vers moi. - Oui, Sebastian ? Je me mis à sa hauteur. Elle parut étonné. - Comment se fait-il que vous saviez qui se passait quelque chose ? demandai-je sérieusement. Elle mit sa main sur la joue et s'approcha de moi. Elle me répondit d'une voix plus grave que la sienne. - Peux-tu garder un secret, mon petit diable de majordome ? dit-elle avec un sourire. Je hochai la tête, incapable de faire autre chose. Elle dégageait beaucoup de pouvoir. Elle n'est pas entièrement humaine. Elle eut les yeux rouges, identiques aux miens. Tu as raison, Sebastian Michaelis. Quand j'avais six ans, j'ai été enlevé par une secte démoniaque. Ils m'ont offert un démon, mais celui-ci ne m'a pas tué. Il était intrigué par mon âme, il donnait quelques pouvoirs démoniaque et me laissa partir. J'ai tué la secte et je suis rentré chez moi. Mon père le sut directement, au cours des quatre années qui suivirent, je partais rejoindre un ami qui m'aidé à les contrôler et mon père me ramenait toujours. - Comment je ne peux pas te sentir ? demandai-je en passant au tutoiement. Elle me fis un sourire. - Je masque ma présence, Sebastian. Elle s'embrassa tendrement, je fus surpris. Je me fais appeler Lilith. Dark , viens ici ! dit-elle après avoir mis fin au baiser. Quelqu'un arriva, il était jeune. - Oui, maîtresse. Vous m'avez demandé ? dit-il en s'inclinant. - Oui, où est Shirogané ? - Il est en train de collecter des âmes après il doit aller voir Undertaker, maîtresse. - D'accord, je voulais seulement te présenter le démon au service de mon jumeau, Sebastian Michaelis, dit-elle en m'indiquant de la tête. - Ravi de vous connaître, je suis Dark. Je suis au service de Lilith, dit-il en souriant. Maîtresse, puis-je rejoindre Shiro ? - Excusez-moi mais je crois que ton jumeau voudrait aller voir Undertaker, dis-je à l'attention de ma jeune maîtresse. - Tu as raison, Sebastian. Dark, tu diras à Shirogané de rester Under. - Bien, maîtresse, dit-il en s'inclinant et il partit. Je me tournai vers Lilith, elle avait encore les yeux de démon. Je m'approchai d'elle et murmurai. - Tes yeux sont encore couleur sang, Lilith. Elle tourna son visage vers moi, elle ferma les yeux et quand elle les ouvrit, ils étaient de nouveau bleus. - Alors, comment tu trouves ? dit-elle avec la voix que je connaissais. - Mieux pour votre frère, dis-je avec un sourire. Qui est ce Shirogané ? - Un Shinigami. J'en connais quatre : Undertaker, Shirogané, Eric Slingy et Alan Humphries. Pour les deux derniers, on se connait parce que j'ai sauvé Alan de l'Epine de la Mort. - L'Epine de la Mort ? - Une maladie n'affectant que les Shinigamis. Elle est normalement mortelle. - Normalement ? - Oui, sauf qu'Alan ne l'a pu, c'est moi qui l'a, répondit-elle en s'ouvrant un peu sa robe. Sur la poitrine, il y a une rose avec des épines. Je l'ai transférée sur moi, étant que je ne suis pas de la même espèce, je ne risque rien. J'ai répondu à tes questions, Sebastian. - Oui, jeune maîtresse, dis-je l'embrassant. Je crois que votre frère nous attends. Je frappais à la porte, on entendit un "Entrez !". Ma jeune maîtresse entra, suivi par moi. Fin POV
POV Lice Après les explications que j'ai donné à Sebastian, on entra dans le bureau de mon frère. Je m'installai, assise sur le bureau. - Tu étais où, Lili ? demanda mon jumeau. Je lui souriais. - J'étais dehors, je prenais l'air et j'ai vu Sebastian arriver. Il me regarda et m'embrassa tendrement. - Je m'inquiètais pour toi. Il se tourna vers le majordome. Alors, Sebastian ? - Le Corbeau viendra, accompagné de son majordome. Jeune maître, il y a un incident imprévu, dit Sebastian. - Lequel ? demanda Ciel, impatient. - Le majordome est comme moi, répondit Sebastian. - C'est un démon. Intéressant ! Je crois qu'il faut que nous allons le voir, dit mon double. - De qui tu parles, Ciel ? demandai-je innocement. - Undertaker, un croque-mort. Sebastian, prépare la voiture. Il s'inclina. - Yes, my Lord. Il partit, Ciel et moi ont sortis de la pièce pour se diriger vers l'entrée du manoir où Sebastian nous attendait. On entra dans la voiture et on se rendra vers Londres.
Après quelques minutes de voyage, on sortit de la voiture. On était devant chez Undertaker, des voix nous parvenait. ~Undertaker, tu ne peux pas nous donner ces infos ?~ William ~Je ne savais pas que les Shinigamis avaient besoin d'aide.~Dark ~Je ne crois que je vous parles, démon.~William ~Calme-toi, Dark !~Shirogané ~Ne t'inquiète pas, Shiro. Je suis calme.~Dark ~Calmez-vous, William-senpai !~Alan et Ronald ~Je ne crois pas que tu l'aides, Alan.~Eric On entra chez Undertaker. Il y avait déjà plusieurs personnes : Grell, William, Eric, Alan, Dark et Shirogané. Un autre Shinigami que je ne connais pas. - Bonjour tout le monde ! dis-je. Undertkaker ! Il s'approcha de moi. - Bonjour princesse ! Que me vaux ta visite ? demanda-t-il. - Je crois la même chose qu'eux, dis-je en les désignant. Il faut te payer ou j'ai droit à une ristourne, Under ! demanda-je en m'approchant de lui. Il sembla réfléchir. - Je ne sais pas, combien de temps ? Je tourna vers Sebastian. - Une heure ou un peu moins, Lilith. Je lui souriai. Je voyais les Shinigamis me régarder. - Tu as ta réponse, Under. Je vis Eric et Alan, se rapprocher. Ce dernier me prit dans les bras. - LILI ! s'écria-t-il. Je riai avec Eric. - Doucement Alan, tu vas étoffer Lili ! dit-il. Alan me lâcha. Bonjour Lili ! - Bonjour, vous trois ! Ca va, Alan ? demandai-je en l'embrassant sur la joue. Je fis la même pour Eric et Shirogané. - Ca va, répondit-il en souriant. Que fais-tu, ici ? Je m'installai, assise sur l'un des cercueils. Mon jumeau enquête sur les jeunes filles mortes. Je crois que vous êtes là pour la même chose. Dark vint s'allonger, posant sa tête sur mes genoux. Je lui caressai les cheveux. Je ne crois pas qu'autant d'âmes non recensées passent inapperçus. Fin POV Chapitre 8 : L'alliance entre démons (partie 2)
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Eric et Alan regardèrent Lice avec amusement tandis que William et Ronald furent surpris de voir l'attachement des deux Shinigamis pour l'humaine. - Tu as raison, Lili, répondit Eric. A propos, j'ai appris que Grell a récupéré l'âme de Parkinson. J'étais surpris, je croyais que tu allais la prendre. Le comte Phantomhive regarda sa soeur avec étonnement. - Je comptais le faire mais mon frère étais là, je ne voulais pas qu'il me voit ainsi. Tu peux comprendre, Eric ? Le concerné hocha la tête. J'ai oublié les éricas, Alan ! Je t'en acheterai plus tard. - Ne t'inquiète pas, Lili ! Peux-tu nous aider avec Undertaker ? demanda-t-il. La jeune fille se tourna vers le croque-mort. - Under ? Celui-ci soupira, il s'assit sur l'un des cercueils près d'elle. - D'accord, mes "clientes" n'avaient plus d'yeux. Lice pencha la tête. Les yeux ont été enlevés proprement. - C'est tout ? Elles avaient la même couleur d'yeux ? Il secoua la tête. D'accord ! On entendit un ronronnement. Oui, Dark ? Celui-ci leva la tête. - Maîtresse, vous ne pensez pas que cela pourrait être Dante, dit-il avant de reposer sa tête sur les genoux de la comtesse. Elle se mit à réfléchir. - C'est tout à fait son genre, grignoter l'âme avant de la laisser aux Shinigami. Eric, les lanternes cinématiques des mortes étaient-elles entières ? demanda-t-elle. - Non, il y avait des blancs. Qui est Dante ? - Un démon de bas niveau, un Baron. La plupart des personnes la regardèrent avec étonnement. Elle soupira et claqua des doigts. Une feuille et un nécessaire d'écriture apparurent. Elle écrivit quelques instants avant de les appeler. Venez voir ! On pouvait voir une liste de noms (voir l'article suivant). Ceci est la hiérachie des démons. A cet instant, un bruit se fit entendre. Dark, passe-moi le Miroir Démoniaque. Il le sortit de sa poche et le tendit à sa maîtresse. Acceptem nomen ! Le miroir réfléchit une image. #Devil ! Que veux-tu ?# #Lilith ! J'appelais Dark. Mais bon, que fais-tu ?# #Tu savais qu'il serait avec moi. J'étais en train d'expliquer à des Shinigamis la Hiérarchie.# #Quoi ? Bon, tu fais comme tu veux. Tu as l'info pour Dante ?# #Laquelle ?# #Il dit, dans tout les Enfers, qu'il va voler l'âme que convoite un Maquis.# #En quoi cela me concerne ?# #Je croyais que ton frère avait fait un pacte, avec un démon, t'incluant.# #Et ?# #Il est quoi, le démon ? Je sais que tu n'es pas allé en Enfer, donc tu ne connais pas tout le monde.# Lice se tourna vers Sebastian. Il lui fit un signe de tête, approuvant ce que Devil disait. #Quel nom, le contractant ?# #Ciel Phantomhive.# A cet instant, les yeux de la comtesse se teignirent en rouge. #Personne ne touche à mon frère, Devil !# Une aura sombre l'entourait. #Je sais, Lilith. Je te prévenais, c'est tout.# #Il est mort ! S'attaquer à une âme qui est sous la surveillance des deux premiers Marquis des Enfers, Dante n'a pas froid aux yeux.# #Bien, je crois que je vais vous le laisser. Passe le bonjour au second Marquis, Lilith. Bye !# #D'accord. A plus tard, troisième Prince.# Le miroir devenait noir, Lice le rendit à Dark. Tout le monde la regarda, son frère voulut s'approcher mais un Shinigami l'arrêta. - Laissez-moi ! Il essaya de se dégager mais impossible. - Ronald Knox, lâche-le, dit Eric. - Eric, c'est dangereux. Elle a des yeux de démon, répondit Ronald. - Normal, elle l'est à moitié, indiqua Alan. Mais elle ne va pas le blesser. Sebastian le ift lâcher le comte qui essaya d'aller près de sa jumelle mais Sebastian se mit devant lui. - Sebastian, pousse-toi ! s'écria Ciel. - Non, elle ne contrôle pas sous cet état. Vous ne savez pas, jeune maître. - Si, je le sais. Elle était déjà dans cet état-là, une fois. Je ne sais pas ce que vous cachez mais je connais Lice, elle ne fera jamais de mal. Il arriva à passer à côté de son majordome. Lili ! La concernée se tourna vers lui. Calme-toi, s'il te plaît, personne ne me fera du mal. En disant ces mots, Ciel commença à verser des larmes. En les voyant, la comtesse se calma et ses yeux revinrent bleu. - Ciel, tu pleures ! dit-elle en le prenant dans ses bras. Je suis désolée, mon ange. Elle essuya ses larmes et l'embrassa tendrement. Tu sais que je ne supportes pas que quequ'un te fasse du mal. Sebastian était étonné, c'était la première fois qu'il voyait son jeune maître pleurer. Mais avec Lilith dans les parages, plus rien est impossible. Il sortit sa montre à gousset et vit qu'il était déjà tard. - Jeunes maîtres, il est l'heure de rentrer au manoir, dit-il en s'inclinant. - Tu as raison, Sebastian, dit Lice. Ciel, peut-on amener Dark avec nous ? - Pourquoi ? - Il ne va pas rester avec Undertaker et en plus, il peut se transformer en chat donc pas de problème. - Comment ? s'écria son jumeau. Je te rappelle que j'y suis allergique. Sa soeur émit un petit rire. - Moi aussi ! Mais, étrangement avec Dark, il n'y a pas d'éternuement. - C'est d'accord. Va dire au revoir à tes amis et on y va. Ils se séparèrent, Lice alla embrasser Eric, Alan, Shirogané et Undertaker. - Je pense que l'on va aussi y aller, dit Eric. Alan, Ronald, on y va. Les trois hommes partirent. - Au revoir, chaperon rouge ! dit Lice avant de partir avec son frère, Dark et Sebastian. William et Grell s'en allèrent après eux. Chapitre 9 : L'alliance entre démons (partie 3 et fin)
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Du retour au manoir, le jumeaux allèrent dans la salle de jeux tandis que Sebastian préparait les collations pour les invités. Dark se transforma en chat et alla rejoindre sa maîtresse.La porte était entrouverte, on pouvait voir Ciel et LIce en train de faire une partie d'échec. Le chat se faufilait pour sauter sur les genoux de la comtesse. - Ah, tu es là Dark ! Elle le caressa d'une main et de l'autre, elle bougea une pièce. A toi, Ciel ! Il déplaça un pion, ils jouèrent ainsi quelques minutes avant d'être déranger par des coups sur la porte. Entre, Sebastian, dit la jeune fille. Son frère se demandait comment a-t-elle su qu'il était derrière la porte, cela aurait pu être n'importe quels domestiques. Le majordome entra ainsi que deux autres personnes, un jeune garçon blond et un jeune homme aux cheveus noirs. - Jeunes maîtres, voici le comte Vessalius et son majordome, dit Sebastian avant de s'incliner. Je vais aller chercher les collations. Il partit en fermant la porte. - Comte Oz, je suis ravie de vous connaître, dit-elle. Je suis Lice et voici mon frère, Ciel. Veuillez vous asseoir, rajouta-t-elle en se levant, obligeant Dark à bouger. Elle s'approcha de son jumeau et lui chuchota. On reprendra la partie plus tard, mon amour. Son frère se leva tandis que son majordome revient, ils s'installèrent dans le fauteuil, Lice sur les genoux de Ciel. Oz s'installa sur l'autre, observant cet étrange couple. Sebastian installa le goûter sur la table basse. Il versa le thé et découpa le gâteau. - J'ai préparé une Forêt Noire et du thé noir, j'espère que cela vous plaira. Il servit le comte Vessalius puis ses jeunes maîtres. Ciel ne dit rien, mais pas sa soeur. - Merci, mon petit diable de majordome, dit-elle avec un sourire. Il lui répondit avec le même sourire. - Tout le plaisir est pour moi, marquise Lili, dit-il en s'inclinant. Ils mangèrent un peu. - Parlons de cette affaire, avez-vous des informations ? demanda Oz. - Nous pensons que le vicomte de Druitt n'est pas étranger à ceci, dit Ciel. - Lequel, Aleister ou Vincent ? - Il y a plusieurs vicomtes, demanda Lice. - Oui, mais je connais Vincent assez bien. Mais, il y a un petit souci. Il donne sa dernière soirée, ce soir. Je nous ai inscrit, j'espère que cela ne vous dérange pas. Elle est à thème : Noir et Blanc. - Non, vous avez bien, comte Vessalius. Je crois qu'il n'y a rien à rajouter, dit Ciel. - Vous raison, comte Phantomhive. Nous nous reverrons au bal. On y va, Gil. Au revoir ! Ils se levèrent et partirent, accompagnés de Sebastian. Les jumeaux restèrent, assis ensemble jusqu'à ce que Sebastian revient. - Comment veux-tu avoir un ensemble d'une de ces couleurs, Lili ? demanda le comte. Sa soeur lui souria avant de claquer des doigts, un paquet apparut et elle le lui donna. - Tiens, vas voir si il te plait. Ne t'inquiète pas pour moi, j'ai déjà une idée. Son frère haussa les épaules avant d'aller dans sa chambre, essayer ce que sa jumelle a pris pour lui. Pendant ce temps, Lice demanda au majordome : Sebastian, aurait-il une chambre de libre pour voir si la robe que j'ai choisi me va ? Le démon l'accompagna jusqu'à une chambre d'amis et lui ouvrit la porte. La comtesse n'attendit pas qu'il parte pour se changer, la nouvelle tenue apparut sur le lit, c'est une robe blanche. Lice défit les lacets des son corset et laissa tomber sa robe verte. Son dos était parsemé de fines cicatrices et au creux des reins, on voyait un tatouage de phénix.
Sebastian s'aprocha d'elle et l'entoura de ses bras, la jeune comtesse s'appuya contre lui. - Sebastian ?! appella-t-elle, doucement. - Oui, my lady, répondit-il, naturellement. - Tu penses que je pourrais rester avec Ciel. - C'est-à-dire ? Lice se tourna, nue face à lui. Elle posa sa main sur sa poitrine. - Tu vas lui prendre son âme après sa vengeance et moi ? Je ne sais même pas si tu peux avoir la mienne, dit-elle, calmement. Le majordome la poussa jusqu'au lit où elle s'allongea, ainsi que lui, au dessus d'elle. Il lui caressa la joue. - Tu sais, Lilith, dit-il. Je ne sais plus que faire, Ton frère et toi, vous m'avez fait apparître en moi des sentiments inconnus. Je ne veux pas que vous morriez. Lice regarda Sebastian, il était en train de dire qu'il est... - Attends un peu, ne me dis pas que tu seras amoureux de nous, demanda-t-elle. Le majordome des Enfers ne disait rien, la soeur de Ciel releva un peu la tête et tira sur la cravate de Sebastian pour l'embrasser. Le baiser dura quelques minutes avant qu'ils se séparérent. Sebastian, je veux bien partager Ciel avec toi, dit-elle avec sa voix de démon. Le concernée la regarda dans les yeux, devenus carmins. La mi-démone s'entailla le poignet avec ses dents pour le laisser s'abeuver. - Tu es sûr de toi, demanda-t-il. Elle hocha la tête, elle leva son bras et le majordome but son sang quelques minutes avant de la regarda de nouveau, la bouche ensanglantée. Elle lui sourit avant de l'embrassa de nouveau. C'est quoi cette marque ? - Ah, c'est une longue histoire. Je l'ai eu après ma transformation en démon. Elle signifie que je peux devenir Shinigami. - Comment ?! - Ce jour-là, je devais mourrir et le devenir mais, Devil m'a donné mes pouvoirs démoniaques. Les Hautes Instances Shinigamis me laisse une "chance", ils pensent que lors de ma mort, je changerais d'avis. Donc, ils m'ont apposée cette marque. - Et ? - Pas du tout, Ciel est tout pour moi si il meurt, moi aussi. A propos, je peux utiliser la Faux des Shinigamis pour récolter les âmes. Je ne l'ai fait qu'une fois lors de ma rencontre avec Alan et Eric. Je te raconterai ça, un autre jour. Tu peux me laisser essayer la robe ? Sebastian se leva et l'aida à faire de même, elle enfila la robe rapidement et se tourna vers lui. Comment tu me trouves ? Le démon lui souria avant la prendre dans ses bras. - Très belle, mais je t'aurais préférée en noir. - Je sais mais je veux pareil que Ciel qui est blanc. Tu le verras ce soir. Elle claqua des doigts et fut de nouveau avec son ancienne robe. Il faut aller Ciel si il a fini, tu viens ? La majordome et la comtesse sortit de la pièce et se dirigea vers la chambre du comte. Chapitre 10 : Le bal des mystères (partie 1)
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Sebastian et Lice arrivèrent devant la porte de la chambre, la comtesse frappa à la porte. - Ciel, l'ensemble te va ? demanda-t-elle à voix haute. Elle entendit des pas et la porte s'ouvrit, son jumeau était habillé des anciens vêtements. - Il me va, Lili, lui répondit-il. Et toi ? Elle hocha la tête. Bien, je crois que nous devons nous préparer à y aller. Sebastian, toi aussi ! Il referma la porte, le majordome et Lice se regardaient. - Je crois qu'il a raison, tu viens ? Elle lui prit la main et font le chemin inverse. Sebastian lui ouvrit la porte et la laissa passer. Sebastian ? appela-t-elle. - Oui, my Lady ? - Est-ce que j'ai fait le bon choix en voulant aller au bal ? Je ne savais pas que Vincent serait là. - Vous le connaissez ? - Oui, il a participé à quelques séances avec Parkinson. La jeune comtesse parut anxieuse, le majordome lui prit le visage entre les mains, la forçant à le regarder. - Maîtresse, promettez-moi de n'écoutez que moi ou votre frère, demanda-t-il en l'embrassant chastement. - D'accord. Il s'éloigna, la mi-démone claqua des doigts et fut habillée de la robe choisie précédemment. Le démon fit de même et fut vêtu d'un costume noir. Les deux démons décidèrent de descendre, ils arrivèrent près des escaliers quand ils entendirent des voix. POV LiceOn aperçut, accoudé près de la rambarde, Grell, William était un peu plus bas ainsi que Ronald. On approcha des escaliers, on voyait en bas, ma famille : Angelina (Madame Red), Frances et Alexis, Edward et Elizabeth. Il y avait aussi le comte Oz, son oncle Oscar, son majordome Gilbert et les Shinigamis : Eric, Alan et Shirogané et enfin, mon frère Ciel. A cet instant, mon jumeau se tourna vers moi et me souria. Je descendis les marches avec notre majordome. - Tu es magnifique, Lili, dit-il en l'embrassant sur la joue. - Toi aussi, Ciel. Qu'est-ce que vous faites tous là ? demandai-je. Grell, William et Ronald descendirent également. - Nous sommes pour le travail, mademoiselle, dit M. Spears. On vit un fourreau volé vers moi que je rattrapa facilement ainsi qu'un pistolet. - Comment tu peux les avoir, Oscar ? demandai-je en me tournant vers l'oncle d'Oz. Il sortit une cigarette et commença à la fumer. - Vincent me les a confiés une semaine avant sa mort. Il m'a dit que tu savais quoi faire, il y a également ça, rajouta-t-il en me lançant une enveloppe rouge. Je la ratttrappai avant de la décacheter. "Ma chère Night, si vous recevez cette lettre, c'est que j'ai besoin de Bloody Queen pour effacer le responsable de l'affaire que s'occupent le Chien et le Corbeau. Je compte sur vous.
La Reine Victoria. " - Bien, je m'en occupe, dis-je. J'installai le pistolet derrière mon dos avec un holster blanc, qui apparut discrètement. - Vous savez vous servir de ceci, jeune maîtresse ? demanda Sebastian, intrigué. - Oui, Vincent me l'a appris avec le maniement de l'épée. Je me tourna vers tante Frances. Que faites-vous ici, ma tante ? - Elizabeth voulait voir Ciel, c'est tout, dit-elle, énervé. - Bien. Ciel, je crois qu'il faut y aller, dis-je. Vous venez ? dis-je à l'attention des Shinigamis. Dark, viens ici ! Il vint quelques minutes plus tard. Tu nous accompagnes. Excusez-moi, mais nous avons une mission de la Reine à effectuer. On commença à y aller, quand tante Frances protesta. - Tu n'as rien à faire avec les fonctions du Limier de la Reine. Je m'approchai d'elle. - Qui vous dit que c'est au nom du Limier que j'y vais, c'est au nom de Bloody Queen que je m'y rends. - Impossible ?! C'est le bourreau de la Reine, tu ne peux pas l'être, dit le frère de Lizzy. Je déplaçai juste derrière lui en un instant, plaçant ma lame près de son cou. - Tu disais quoi, mon cher cousin ? dis-je, ironiquement. Je lançai mon épée vers Dark qui la prit avec habilité. Tu me la gardes ! Il s'inclina avec respect. - Bien, maîtresse. Tout le monde me regarda avec peur, sauf Oscar qui me connaissait. Ciel se plaça derrière moi, m'entourant de ses bras. - Je suis prévenu, ne jamais t'énerver ! dit-il dans un éclat de rire, qui surpris tout le monde. Bien, on va y aller, rajouta-t-il en prenant la main. On sortit du manoir en se dirigeant vers les voitures et on monta. Dans la nôtre, il y avait Ciel, Sebastian, Dark, Shirogané, Grell et moi. Dans celle du comte Vessalius, il y avait Oz, Gilbert, Oscar et Alice (la fiancée d'Oz). William, Ronald, Eric et Alan allèrent par leurs propres moyens. On arriva devant la demeure du vicomte de Druitt, les voitures arrêtrent. Ciel me prit la main et notre petit groupe se dirigea vers la salle de bal. On ne vit ni Aleister, ni Vincent et encore moins Dante. Mais on entendit une voix. - Night ! Je me tournai pour apercevoir Xerxes, arrivé vers moi. Comment vas-tu ? - Break, qu'est-ce que tu fais là ? Je lui fis la bise. Je vais très bien. J'aperçus une jeune fille à côté de lui. Mais, c'est Sharon. Il hocha la tête. Tu ressembles à ta mère, tu sais. - Bonsoir, mademoiselle, dit-elle. - Appelle-moi, Lice et pas Night. - J'oublie que tu hais ce prénom, désolé. Tu sais, j'ai vu le fils de Léopold. Je le regardai avec étonnement. - Attends, il n'est pas censé être mort. - On le croyait tous, mais il y a un an et demi, il a été retrouvé. Qu'est-ce que tu fais, ici ? Mission ou plaisir ? demanda-t-il. Je lui montrai mon dos où il y avait mon pistolet. - Je crois que tu comprends et toi ? - Plaisir et surtout obligation, Le frère de Vincent organise cette soirée et il nous a invités. J'aperçus un jeune homme blond près de lui. Ah oui, je te présente Frye Snow, mon majordome. Il s'inclina. On discuta un petit moment avant que l'on entend une voix. - Ma petite corneille ! Je me retounai pour apercevoir Vincent, accompagné de son frère. Je voulus le gifler mais il me retenit la main. Ce n'est pas bien de vouloir me blesser, ma petite corneille. J'essayai de me dégager mais il me tenait fermement. - C'est un réflexe ! A chaque fois que je te vois, j'ai besoin de te gifler. Lâche-moi ! Il s'approcha de moi et me murmura à l'oreille. - Si je ne veux pas ? Tu m'as manqué, rajouta-t-il à haute voix avant de m'embrasser. Je me dégageai rapidement avant de le gifler violement. - Je te rappelles que tu es fiancé. J'arrêtai Sebastian de la main, je le sentais énerver. Calme-toi ! La musique débuta, plusieurs couplescommencèrent à danser. Le comte Trancy arriva vers nous, accompagné de son majordome. - Bonsoir ! dit-il. My lady, m'accordez-vous cette danse ? me demanda-t-il. Je hochai la tête et lui prit la main. Fin POV Lice Chapitre 11 : Le bal des mystères (partie 2)
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POV Ciel Au moment où le frère du Vicomte agrippa la main de Lice, j'étais surpris et je n'étais pas le seul. Je ne savais pas que ma soeur le connaissait. Mais quand il l'a embrassé, j'ai failli prendre mon sang-froid comme Sebastian. Ils ne savaient pas mais j'ai menti quand nous étions chez Undertaker, je leur avais dit que je ne comprenais pas, de quoi ils parlèrent. Mais je le sais ; ce que ma soeur a subi et qu'elle est à moitié démon, que Sebastian m'aime. Notre télépathie fonctionnait constament même quand elle travillait avec père. Je la connais par coeur, la musique débuta et Lili fut invitée par le Comte Trancy à danser. Pendant toute la danse, je la regardais. - Que se passe-t-il, jeune maître ? me demanda mon majordome. Il disait cela alors qu'il faisait également la même chose. J'esquissai un sourire. - Tu me le demandes ? Tu ne fais pas la même chose que moi, Sebastian. Je me tournai vers lui. Tu sais, je n'apprécies pas que d'autre personnes ne touche à ma soeur à part moi et toi, bien sûr. Sebastian me regarda sérieusement. - Vous êtes jaloux, jeune maître ? Je me tournai vers lui. - Et toi ? Le démon fut surpris de ma question. Il ne savait pas que j'avais entendu, indirectement sa conversation avec Lili. A ce moment, une chose non-identifiée atterrit sur moi. Il ressemblait à un chat squelettique et imberbe, je me disais ce que s'était. - Sebastian, enlève--moi ça ! Il ne réagit pas. SEBASTIAN ! Il me regarda sans bouger. - Je ne peux pas, jeune maître. Ces animaux sont très agressifs, ils n'obéissent qu'à leurs maîtres. On entendit des voix. - C'était une mauvaise idée de laisser Maléfica se promener, dit la première voix. - Ne t'inquiète pas, frérot ! répondit la seconde. Fin POV
Pendant ce temps, Lice continuait à danser avec Alois. - Puis-je vous poser une question ? demanda-t-elle. - Bien sûr ! La comtesse parut gênée. - Etes-vous le fils du Comte Trancy ? demanda-t-elle. Il parut surpris. - Pourquoi vous me demandez cela ? - Je connaissai votre père et ses "habitudes". Vous me comprenez ? dit-elle avec des sous-entendus. Alois la regarda dans les yeux. - Ah bon ? Elle se mit à rire doucement. - Ne vous en faites pas, je ne dirais rien, vous méritez votre place après les sacrifices que vous avez dû faire. Il la regarda avec de grands yeux. Oui, je connais assez bien Léopold. On travaillait certaines fois avec lui, Vincent et moi. Je veux dire mon père et moi. - Je ne savais pas. La musique s'arrêta, le couple rejoint les autres, quand Lice appreçut l'étrange animal. - Maléfica ! s'écria-t-elle. Le concernée tourna la tête et courra vers elle. Qu'est-ce que tu fait ? dit-elle en le caressant. - Il te chercher, princesse, dit une voix qu'elle connaissait bien. - Lucifer ! s'écria-t-elle en se tournant. Elle apperçut deux des trois Princes des Enfers. Qu'est-ce que vous faites là ? - On n'a pas le droit de venir de les voir, princesse, dit Devil en l'embrassant sur la joue. Elle souria et embrassa Lucifer. - Mais non ! Cela me paraît étrange que vous venez maintenant, c'est tout ? Tout le monde regarda le trio avec de grand yeux. - Maîtresse, est-ce bien qui je pense ? demanda Sebastian, aveec respect. - Oui, mon petit diable de majordome, dit-elle en se tournant son majordome. Vous savez où est le Fourreau de Laevatein? - Elle doit être ici, pourquoi ? demanda Devil. Elle secoua la tête. - Comme ça ! Lucifer s'approcha d'elle. - Tu mens mal, princesse. Explique ! - Comment les six Marquis des Enfers soient là, dans la même ville ? Cela ne te parait pas étrange, demanda-t-elle, sérieuse. - Je ne sais pas, Lili, dit Ciel.C'est peut-être le destin, répondit son jumeau à la surprise de tous. - C'est ton frère, princesse, dit Devil. Elle hocha la tête. Enchanté de faire votre connaissance, comte, dit-il en tendant la main. Ciel le prit et la secoua. - Moi aussi, Devil. Auriez-vous vu Dante dans les parages ? demanda-t-il. - Non, je vois que votre soeur vous a prévenu.
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Petite soeur
 | | j'aiiiiiiiiime  L'histoire et génial et original ^^ | |
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Lice Phantomhive
 | | Voilà un petit bonus en attendant le chapitre 12 ! Bonus 1 : Souvenirs d'enfance de Ciel et Lice La découverte du mariage Ciel/Elizabeth Ciel et Lice avaient huit ans et étaient inséparable ou presque. Un jour, Ciel surprit une conversation entre son père et sa tante Frances. - Ma chère soeur, ils nous faudraient penser à l'avenir de nos enfants, dit le comte Phantomhive. - Tu as raison, mais que faire ? répondit la comtesse Midleford. - Marrions nos enfants ensemble, ils s'entendent bien et bien, cela reste dans la famille. - Tu as eu une excellente idée, mon frère. Ciel courrut en pleurant jusqu'à la chambre de sa jumelle qui est adjacente à la sienne. Il ouvrit la porte sans frapper. - Ah, tu m'as fais peur, Ciel ? s'exclama-t-elle avant de voir le visage de son jumeau en pleurs. Ciel, qu'est-ce qui se passe ? demanda-t-elle en le prenant dans les bras. Il renifla avant de raconter. - Ils veulent me marier à Lizzy, Lice, dit-il. - Qui ? - Père et tante Frances, je les ai entendus dans son bureau. Il la serra dans ses bras. Je ne veux pas, c'est avec toi que je veux me marier, dit-il. - Ciel, c'est normal entre nobles que d'être promis à quelqu'un à notre âge, répondit-elle en lui faisant des arasbesques dans le dos. Et, je te rappelles qu'on ne peut pas. Il faut t'y faire, tu vas peut-être tomber amoureuse d'elle. Ciel fit non de la tête, pour lui, c'était impossible. Quand tante Frances partit, Ciel alla voir son père pour dire son refus de mariage. Le comte Phantomhive le gronda et le consigna dans sa chambre. Il alla ensuite dans la chambre de Lice, il était sûr que c'était de sa faute si son fils est venu le voir. - Nightmare ! déclara-t-il. - Oui, Vincent ? Nightmare a l'habitude de l'appeler par son prénom. - C'est toi qui a dit à Ciel de venir me voir, demanda-t-il. - Non, je ne savais même pas qu'il était venu vous voir. - Ne mens pas, s'écria-til avant de la gifler. Il partit de la pièce, après son fils vint. Quand il apperçut sa soeur, il se précipita vers elle. - Lice, ça va ? demanda-t-il, inquiet. - Non, ne t'inquiète pas. Viens là, dit-elle en l'attirant vers elle. Ils restaient ainsi quelques minutes. Ciel ? dit-elle, doucement. - Oui. Il la regarda, elle était triste et il détesta la voir ainsi. - Promets-moi d'obéir à notre père. Il voulut protester, mais elle le coupa. Laisse-moi finir, il faut que l'un de nous puisse succéder après lui. Ciel se tourna vers elle et l'embrassa fouguesement. - Lili, comment tu peux me demander ça ? Je n'aime que toi, rajouta-t-il en l'embrassant dans le cou. Il appréciait sa cousine mais il adore plus que tout sa soeur. On s'est promis de rester éternellement ensemble, tu t'en souviens ? - Mon ange, je le sais bien mais pense au regard des gens... - Au diable, les gens ! Tu étais, tu es et tu seras la seule femme que j'aime, Lili ! déclara-t-il, sérieusement. | |
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Lice Phantomhive
 | | Voila la suite des aventures de Lice !
Chapitre 12 : Le bal des mystères (partie 3 et fin)
Ciel le regarda avec sérieux. Il insinuait que sa soeur lui mentait. Impossible, la télépathie fonctionnait constament. - Nous nous cachons rien, Devil, répondit-il. Vous n'avez pas répondu à ma question ? Le démon le regarda, avant de faire un sourire. - Je ne sous-entendais rien, Comte. Je n'ai vu Dante mais il est là avec mon partenaire. Lice le regarda avant de dire. - Il est là ? Il hocha la tête. Il est à l'origine de tout ça. Elle ressentit une forte puissance démoniaque : c'était lui ! Elle se retourna et l'aperçut au sommet des escaliers. Il les descendit accompagné d'un autre homme, sûrement Dante. Il leur sourit quand il s'approcha. - Bonsoir Lilith, que me vaux ta visite, ici ? dit-il amicalement. - Je ne penses pas que ce soit chez toi, mon cher, répondit-elle. Il lui prit la main et la baissa, elle lui retira rapidement. Tu accueilles, comme ça ton fiancé ? dit-il avec un petit sourire narquois. Elle le regarda avec surprise. - Tu plaisantes ? Il secoua la tête avant de lui passer un document attestant de ses fiançailles avec lui, signé par sa tante Frances. Ciel lut par dessus son épaule, il était étonné. Lice lâcha le papier et courut vers le balcon, seule et en pleurs. - LICE ! s'écria son jumeau. Sebastian, reste ici, je rattrape Lice, dit-il avant de d'élancer à sa pousuite.
Pendant ce temps, la jeune comtesse était sur le balcon en pleurs, elle n'imaginait pas que sa tante aurait pu lui faire cela. Elle ne voulait pas se marier avec lui, c'était avec Ciel et Sebastian qu'elle voulait. Elle entendit quelqu'un arriver, elle leva la tête pour voir son frère. Il se précipita vers elle, inquiet. - Lili, ça va ? demanda-t-il en la prenant dans les bras. Elle enfourra sa tête dans le cou de son jumeau pour se rassurer. Ils restaient quelques minutes ainsi, Ciel éloigna un peu sa soeur. Regarde-moi, mon coeur ! Elle leva la tête et l'observa. Personne ne t'enlevera à moi et Sebastian, tu m'as compris ?
Au même instant, dans la salle de bal Le reste du groupe attendait le retour des jumeaux, quand ils entendirent des voix. Ils apperçurent la famille Middleford au complet. Elizabeth arrivait la première et allait vers le majordome de Ciel. - Sebastian, où est Ciel ? Le démon ne pouvait pas lui dire qu'il était avec sa soeur en train de la consoler. Il ne dit donc rien. - Mademoiselle, il est avec sa soeur sur le balcon, répondit le "fiancé" de Lice. Elle le remercia d'un hochement de tête avant d'aller dans la direction indiquée. Sebastian lança un regard noir à l'autre démon pendant que le reste de la famille arrivait. - Sebastian ! dit Frances. Elle se tourna vers Satan. Lucian, mon cher !
Sur le balcon Lice pleurait toujours tandis que son frère la consolait, mais Elizabeth les vit et se cacha. - Je ne veux pas me marier, Ciel ? dit-elle. - Je sais, mon coeur. Viens là ! dit-il en l'approchant de lui. Tu sais que je n'aime que toi ! Elle hocha la tête. Il se pencha pour l'embrasser sur les lèvres, le baisier dura quelques instants. Quand il prit fin, les jumeaux étaient front contre front. Tu sais, dit-il après un court silence, quand nous étions Undertaker, je t'ai menti. Elle le regarda. - A propos de quoi ? - Que je ne comprenais rien à vos histoires, je sais tout. - Tout ?! Il hocha la tête. Alors, pour Sebastian ? - Aussi, mais cela ne change à ce que je ressens pour toi et lui. Elle voulut dire quelque chose mais il mit un doigt devant la bouche. Tu peux lui faire entendre la conversion. Elle hocha la tête et se concentra.
A cet instant dans la salle de bal Sebastian sentait des voix parlées dans sa tête, c'était ceux de ses maîtres. "Bien, je vais répéter ce que j'ai dit, tout à l'heure. J'ai menti chez Undertaker; quand je disais que je ne comprenais rien à vos histoires. Je sais tout pour toi, les évènements chez Parkinson et pour Sebastian, dit Ciel." Le démon fut inquiet, son jeune maître savait pour ses sentiments. "Et ? demanda Lice." "C'est la même chose pour moi, je vous aime tout les deux." Sebastian était étonné par la révélation du comte Phantomhive. "Tu sais qu'il écoute. ... D'accord ! Qu'est-ce que l'on fait, alors ?" "On verra cela ce soir. Lili, embrasse-moi !"
De retour au balcon Lice accèda à la demande de son frère, et l'embrassa. Elizabeth, quant à elle, était triste et elle partit en courant vers ses parents. Les jumeaux entendit des pleurs et apperçut une chevelure blonde : Lizzy. Ils courrurent la rattreper avant qu'elle fasse un scandale.
Dans la salle de bal Sebastian était perdu, ses maîtres l'aiment aussi. Aussi, il ne vit pas la gifle que lui lança Elizabeth, qui était arrivé. Il la regarda et aperçut au loin les jumeaux arriver au loin. - Espèce de..., commença Lizzy en pleurs. - Lizzy ! dit Ciel en s'approchant d'elle. Elle se tourna vers lui, en colère. - Ne m'appelle plus jamais Lizzy ! Elle s'approcha de Lice et lui mit une forte gifle qui la ferait tomber, si Sebastian ne l'avait pas tenir. Mère avait raison, tu aurais dû mourrir. Ciel lui prit le bras et la planqua contre le mur le plus proche. - Ne dit plus jamais ça ! dit-il d'une voix froide. Cela vous concerne aussi, ma tante. Vous ne savez rien, absolument rien. Il recula et s'approcha de sa jumelle. Il la prit dans les bras, la réconforta. "Je t'aime, Lili !" dit-il par télépathie. Bien, il faut faire notre boulot, Sebastian ! - Oui ? Le majordome les regarda. - Occupe-toi de Dante ! Il s'inclina. La comtesse s'éloigna de son frère. Qu'est-ce qu'il y a ? - Sebastian ! dit-elle. Laisses en moi un morceau ! Il lui souria. - Bien sûr , Lili ! Il lui tendit la main, qu'elle prit et elle se trouva près de lui. Merci, Lilith ! murmura-t-il à l'oreille. Elle lui sourit avant demander à Dark son épée, qui lui lança. Tant que lui, il sortit ses couteaux en argent.
Il lança les couteaux sur Dante, qui le blessa à l'épaule pendant que le comtesse arriva par derrière et l'embrocha. Le sang gicla sur sa robe blanche, mais Dante arriva à l'enlever avant de la pousser. Elle se réceptionna, Sebastian poussa Dante contre l'un des pilliers qui éffondra. Durant quelques minutes, un silence règla dans la pièce, les invités s'étaient, enfin rendu compte du combat. Dante sortit des décombres, Lice tira dans son ventre avec son pistolet et cria de douleur. -Pas mal ! dit-il, essoufflé. Mais, pas suffissant ! rajouta-t-il avant de se précipiter sur le couple. Mais, il n'y avait personne. Où sont-ils ? Il sentit la lame d'une épée sur son cou. - Tu disais quoi, déjà ? déclara la comtesse qui se trouvait derrière lui. Elle appuya un peu plus, un peu de sang s'écoula. Tu ne dis plus rien, d'accord ! finit-elle en lui tranchant la gorge. Son corps sans vie retomba doucement au sol. Voilà, c'est fait ! dit-elle. Elle regarda sa robe, souillée de sang. Tu avais raison, Sebastian, aurais-tu prendre la noire. Le majordome se trouva à côté d'elle. - Ce n'est pas dans ce contexte-là, déclara-t-il en la prenant dans les bras.
Dernière édition par Lice Phantomhive le Jeu 18 Aoû 2011 - 20:44, édité 1 fois | |
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Petite soeur
 | |  j'adore (à part les faute d'orthographe, si Colorz passe part la, aie pour toi... ) | |
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Lice Phantomhive
 | | Voici le chapitre 13 de ma fic, merci à ceux qui me laisse des réponses !
Chapitre 13 : Les explications données
Le comte Firebutler regarda Lice avec étonnement ainsi que le comte Vessalius et le comte Trancy. - Lice, est-ce que l'on peut parler ? demanda Xerxes. Lice le regarda, avec résignation. - Tu as un endroit calme, Break ? Il hocha la tête et se tourna vers son futur beau-frère. - Vincent, on peut aller dans le petit salon ? Le frère d'Aleister acquiesça. Le petit groupe se dirigea vers le petit salon pour y discuter. Il était composé de : + des Phantomhive (Ciel et Lice), de Dark et de Sebastian, + Alois Trancy et de Claude, + Oz Vessalius et de Gilbert, + Xerxes Firebutler et de Frye, + des démons Devil et Lucifer.
La pièce était composée de quatre fauteuils et d'un canapé deux places. Chaque comte s'installa sur un fauteuil et les deux Princes des Enfers sur le canapé quant à Lice, elle s'installa à sa place habituelle, les genoux de son jumeau. Dark se transforma et alla sur ceux de sa maîtresse, la comtesse le caressa. Les majordomes se placèrent derrière leurs maîtres. - Tu veux savoir quoi, Break ? demanda la seule fille de la pièce, calme. - Tu as tué quelqu'un de sang-froid, tu es couverte de sang et tu me poses la question naturellement ? Qu'est-ce qui s'est passé ? - Je te rappelle que ton majordome doit le faire aussi. - Mais, c'est un démon, lui. Pas toi ? Sebastian se mit à rire doucement, étonnant tout le monde. Quoi ? - Il ne sait pas, maîtresse, demanda Sebastian à Lice au creux de son oreille. Elle se tourna vers lui. - Non, mon petit diable de majordome, répondit-elle avant de l'embrasser rapidement. Cette scène étonna presque tout le monde. Je le suis à moitié, Break, répondit-elle au comte Firebutler. Les démons (sauf les Princes) me regardèrent. - Tu plaisantes, là ? Lice secoua la tête. Depuis quand ? - Sept ans, mon cher. Comment suis-je devenu "Bloody Queen", sinon ?
Du côte des Shinigamis Grell était assis avec Alan et Eric à une table pendant que William et Ronald se promènent par les invités. - Alan, cela fait longtemps que tu connais la Phantomhive ? demanda Sutcliff. - Oui, 5 ans. Elle nous a aidés pour l'âme de Mina Murray. - Celle-là ? Mais, vous êtes revenu bien blessés, pourtant. - On aurait pu y rester, Grell, intervient Eric. Si elle n'avait pas battu le démon avec lequel Murray avait conclu un pacte. Grell le regarda avec étonnement, cette gamine a pu battre deux démons, celui qu'il a vu tout à l'heure et maintenant un. - Tu as oublié de parler du plus important, Eric, dit Humphries. Elle peut utiliser une Faux. Slingby hocha la tête, tandis que Grell avait les yeux grands ouverts. - Tu peux répéter, elle peut l'utiliser ? Willy, viens ici ! s'écria-t-il. Spears arriva avec Ronald, à leur table. - Que se passe-t-il, Sutcliff ? - Qu'est-ce qu'un humain peut utiliser une Faux d'un Dieu de la Mort ? - Bien sûr que non, pourquoi ? - Alan et Eric m'ont appris que la Phantomhive avait utilisé une Faux pour les aider pour l'âme de Murray. William regarda les deux Shinigamis. - Est-ce exact ? - Oui, William-sempai. Et, c'était la mienne qu'elle a utilisé, j'avais eu une crise à ce moment-là., dit Alan. - A propos Alan, tu n'as plus de crise depuis longtemps, non ? dit Ronald Knox en s'asseyant sur une chaise. - C'est vrai et cela grâce à Lice. - Comment ça ? - Elle a transféré l'Epine sur elle, je ne l'ai plus. Presque tout les Shinigamis le regardaient ébahis. - Impossible ! dirent-ils. - Où est Shirogané ? demanda Sutcliff. - Il est dehors, dit Ronald.
De retour vers les autres Le comte Firebutler réfléchit quelques instants, il constata que Lice avait raison, une gamine normale de 6 ans n'aurait pas pu faire tout ça. -Tu as raison, mais ça me fait un choc, répondit Xerxes. Ton majordome est au courant, à ce que je vois. Lice sourit. - Depuis peu, je te rassure. Elle claqua des doigts, un verre de sang apparut. Désolée, mais j'en ai besoin, rajouta-t-elle en vue des regards étonnées du groupe. Elle en but un peu et le tendit à Sebastian. Tu en veux, mon petit diable ? Il secoua la tête. - Non, merci. Buvez-le ! répondit-il avec un petit sourire. Ciel l'embrassa dans le cou, pour signifier sa présence. - Je peux goûter ? demanda-t-il, doucement. Elle se tourna vers lui, étonnée. - Tu veux boire du sang, mon ange ? Si tu veux, tiens, dit-elle en lui tendant le verre où il but une gorgée. - C'est bizarre, mais pas mauvais, répondit-il en souriant. Sa jumelle l'embrassa sur la bouche. - Tu en avais sur la bouche, dit-elle en souriant. Elle balaya du regard la pièce. Où est Shiro ? - Il ne nous a pas suivi, je pense, Lili. - Dark, pousse-toi ! Le chat sauta des genoux de la comtesse, elle se leva, posa son verre sur la table basse et se dirigea vers la porte. - Tu fais quoi, Lice ? demanda Alois. Elle se tourna vers le comte Trancy. - Je vais chercher mon idiot de Shinigami, pourquoi ? - Couverte de sang ! Elle baisa les yeux, elle avait oublié sa robe. Elle claque de nouveau des doigts et la fut habillé d’une robe noire.

- C'est mieux comme ça, Alois ! Il hocha la tête. Elle sortit de la pièce et regarda où était passé le Shinigami. Elle ne vit pas mais les autres Dieux de la Mort, oui. Elle s'approcha de leur table. Vous allez bien ? demanda-t-elle. - Tu as changé de tenue ? dit Eric. Elle s'assit sur le bord de la table vide. - Oui, l'autre est tâchée. Vous parliez de quoi ? - De toi, Lili ! Tu fais quoi, ici ? demanda Alan en lui souriant. - Je cherche Shirogané. Vous l'avez vu ? - Il est dehors, répondit Ronald.
Elle hocha de remerciement, elle commença à se lever quand quelqu'un lui prit le bras. Elle se tourna et vit que c'est Grell Sutcliff. - Oui ? - Je peux te parler seul ? demanda-t-il. - Oui, viens. Ils allèrent vers l'un des balcons. Tu voulais me parler de quoi ? Grell parut gêné. - Je m'excuse pour la première fois où l'on s'est vu. - Ce n'est de votre faute ! Lice sourit, s'approcha de lui et l'embrassa sur la joue, mais les bisous se transforma en baiser sur la bouche car Grell se décala un peu. La comtesse recula de surprise. Pourquoi ? Le Shinigami lui posa le doigt sur la bouche. - Une envie ! Il lui sourit avant de la prendre dans les bras. Tu m'intrigues beaucoup, Lice. - Ah bon ? Toi aussi, tu es différent des autres Shinigamis. Sutcliff la lâcha et s'éloigna vers l'intérieur du manoir mais Lice la rattrapa et le colla contre l'un des murs. Je n'ai pas fini, Grell. Le Dieux de la Mort le regarda, surpris, son visage était près du sien et une envie de l'embrasser lui prit de nouveau. Il n'avait jamais ressenti une telle envie pour une femme, il s'approcha plus de la comtesse. La Phantomhive le regarda, souriante, Lilith voulait ce Shinigami. Sa partie démon a tendance à faire surface souvent, comme en ce moment. Lilith commença à lui lécher les lèvres doucement avant de l'embrasser sur les lèvres, Grell la rapprocha de lui. Il voulait la sentir près de lui, leurs bassins étaient collés et il appuya un peu plus sur ses lèvres. Lilith était contente, Grell semblait apprécier le baiser, elle poussa sa langue pour demander l'entrée de sa bouche qu'il autorisa. Leurs langues se touchèrent et commencèrent une valse. Quelques minutes plus tard, le couple se sépara, essoufflés. - Lice, je..., commençai Grell mais Lilith l'empêcha de parler. - Je suis Lilith, la partie démon de Lice. J'en avais envie aussi donc pas de souci, mon petit Shinigami ! Il faut que j'aille chercher Shiro et retourner voir les autres. On peut se revoir, si tu..., parla-t-elle avant de se faire couper par un baiser de Sutcliff. - Ca répond à ta question, Lilith !
Grell lui sourit quand ils entendirent quelqu'un tousser, ils se tournèrent et virent Shirogané devant la porte-fenêtre. - Tu me cherchais, princesse, dit-il en les regardant. Je ne dirais rien aux autres, ne vous inquiétez pas ! - Oui ! Pourquoi tu n'es pas venu avec nous pour parler avec Break ? demanda-t-elle, un peu énervée. - Tu me l'as demandé, non ? Il s'approcha d'elle. Je t'ai dit que je t'obéirais jusqu'à la fin. - Je le sais, Shiro ! Tu es à moi pour toujours, comme la marque le prouve, dit-elle tandis que le dos de sa main était marqué d'un symbole : 死の神. - C'est quoi, Lilith ? demanda Grell, intrigué. - C'est un vieux rituel qui lie d'une personne à un Shinigami : Morte Affectus Dei. Ce sort lie la vie d'un Shinigami à celle d'un humain, si l'humain meurt le Shinigami aussi et inversement.
- Ah bon ? Ca existe ça, mais pourquoi il te doit obéissance ?
- Il y a deux manières de procéder: soit quelqu'un fait le sort et les deux personnes subissent l'effet, soit l'humain arrive à détourner le sort et tire avantage de celui-ci, dit Shirogané.
- Pour faire clair, j'ai détourné le sort et fait que Shiro m'obéisse jusqu'à la fin.
- D'accord !
Les trois personnes rentraient à l'intérieur et se séparèrent en deux : Lilith et Shiro retournaient au petit salon et Grell à la table des autres Shinigamis. | |
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Petite soeur
 | | J'aimeeeeeee, j'veux la suite !!! Et j'adore la parti avec le verre de vin x) !! Ca me fait vaguement penser à quelque chose XDDD | |
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Grell Sutcliff
 | | J'ai pas encore eu le temps de tout lire mais je m'y plonge dès que j'ai un moment!!
J'adore trop trop trop trop!! Ton histoire est prenante, riche en rebondissement et en détails.
♥ j'adore tout simplement!!! ^^ | |
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Lice Phantomhive
 | | Merci à Grell et à Petite soeur pour vos messages ! Voilà le chapitre 14 qui est assez "chaud" donc vous êtes prévenus, bonne lecture ! Chapitre 14 : Des vacances inoubliables (partie 1)- Spoiler:
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Lice et Shirogané entraient dans le petit salon où les autres parlèrent entre eux. Ciel la vit et la prit dans les bras. - Tu en as mis du temps, Lili ! - Désolé, mais Shiro était introuvable. N'est-ce pas ? Le Shinigami aux cheveux blancs hocha la tête. On fait quoi, maintenant ? - Je crois que l'on va rentrer, tu en penses quoi Lili ? dit son jumeau. Le comte Phantomhive était près de sa sœur et accompagné de leur majordome. - Tu as raison, mon ange. Elle se tourna vers les autres Nobles Diaboliques. Au revoir et au plaisir de vous voir, comtes.
Ils hochaient la tête en guise de remerciement. Les Phantomhives sortaient de la pièce avec Sebastian, Dark et Shirogané. Ils virent les Middleford, Elizabeth était en pleurs et s'approchant d'eux. - Je peux de te parler seul, Ciel, demanda-t-elle. Il hocha la tête avant de regarder sa sœur. - J'arrive toute de suite, mon cœur, dit-elle avant de l'embrasser chastement sur les lèvres. Ils s'éloignèrent un peu des autres.
POV Ciel Lizzy voulait me parler, on partit un peu plus loin. Elle était triste et j'en étais désolée. - Ciel, tu l'aimes, n'est-ce pas ? demanda directement ma cousine. - Oui, mais je t'adore Elizabeth. Je ne veux pas te rendre malheureuse, tu mérites mieux que moi, dis-je honnêtement. - Elle a de la chance, Night ! Et, aussi, Sebastian ! J'espère que tu seras heureux avec eux, Ciel, rajouta-t-elle en me prenant dans les bras. - Merci, Lizzy ! Je suis désolé que tu l'apprennes comme ça et Lice pense pareil. - Pardon de l'avoir giflée ! Je m'éloignai un peu d'elle et lui caressa la joue. Elle le sait, ne t'inquiète pas ! Je lui souris. Tu viens, on va les rejoindre. On revenait vers eux, Lizzy alla vers mon amour et s'excusa de nouveau. - Pardon, Lice ! Elle lui sourit. - Pas grave, je comprends ta réaction, Elizabeth. Notre cousine se précipita dans ses bras. - Appelle-moi Lizzy comme Ciel, tu es ma cousine quand même. - D'accord, Lizzy ! Je toussai un peu pour signifier ma présence. - Excuse-nous mais on va rentrer. Lizzy lâcha Lice et je la pris dans les bras. - Bien sûr ! J'espère vous revoir bientôt, dit mon ancienne fiancée. On va, bien sûr, rompre nos fiançailles, n'est-ce pas mère ? Tante Frances nous regarda avec mépris. - Bien sûr, je vous enverrais les papiers dès demain, mon neveu. Je hochai la tête et on dirigea vers la sortie du manoir quand on entendit une voix appeler ma jumelle. On se retourna pour voir les Shinigamis arriver, Grell en tête. Il avait, dans la main, une fleur de Lys rouge sang qu'il offrit à ma sœur. - Merci Grell ! Alan, passe au manoir. Il y aura des éricas pour toi. L'intéressé hocha la tête. Je vous dis au revoir et bientôt ! On rentra au manoir sans encombre. Fin POV
Une semaine s'est passée après le bal, les enquêtes se sont enchaînées et on dirait que les criminels étaient plus nombreux. La mère de Lizzy avait bien envoyé avec les papiers de casser les fiançailles de sa fille et du Comte Phantomhive. Un jour où Ciel travaillait dans son bureau, sa jumelle se promenait dans le jardin quand elle vit Sebastian arriver près d'elle. Il s'inclina comme d'habitude avant de regarder autour de lui et de l'emmener près d'un grand arbre. Lice le suivit, étonnée par son comportement. - Que se passe..., commença-t-elle avant de se faire embrasser par le majordome. Il recula un peu en souriant. En quel honneur ? finit-elle en souriant. - Une envie, c'est tout. Je peux vous demander quelque chose, my lady ? - Appelle-moi déjà Lice quand on est seul, Sebastian et demande-moi. Le diable de majordome lui prit la main avant de commencer. - Nous avons eu une semaine chargée et j'avais pensé à ce que vous prenez des vacances avec son frère. - Bonne idée, mais avec les domestiques, cela va être dur ! La comtesse fit la moue, un peu déçue. - Je n'ai jamais dit qu'ils viendraient, Lice, répondit-il. Elle le regarda, étonnée avant que Sebastian la plaque contre l'arbre, il lui murmura à l'oreille. Je pensais que je serais le seul à vous accompagner, Lice. Le démon l'embrassa dans le cou en faisant frémir la jeune fille. Tu es sensible à cet endroit, Lice, dit-il en passant au tutoiement, naturellement.
- Oui ! Elle passa ses bras autour du cou de son majordome. Tu aurais pu le dire plus tôt que tu voulais être seul avec nous, dit-elle avec un sourire. Elle aperçut au loin, son frère en train de les observer et lui sourit. Sebastian ? - Je suis démasqué, répondit-il. Oui, Lice ? Il frémit quand il sentit le corps de sa jeune maîtresse près de lui. - Embrasse-moi ! Il s'exécuta en lui donnant un langoureux baiser, il s'arrêta quand il entendit un toussement. C'était son jeune maître, il voulut s'éloigner de Lice mais elle le tenait fermement. Tu as fini, mon amour ? demanda-t-elle, naturellement. - Oui ! Vous vous amusez bien ? Il s'approcha d'eux pour embrasser sa sœur avec un sourire. Vous auriez pu m'attendre, non ? - Sebastian me proposa une idée intéressante, Ciel. Que dis-tu de prendre des vacances, seulement nous trois ? dit-elle en l'embrassant tendrement, leur majordome était près d'eux. Le Comte réfléchit un peu avant de répondre. - La semaine a été assez longue, c'est vrai. Pourquoi pas ? dit le Chien de la Reine en attirant sa sœur près de lui, entraînant aussi Sebastian qui était encore prisonnier des bras de Lice. Le Comte regarda le démon dans les yeux avant de l'embrasser par dessus l'épaule de sa jumelle. Son baiser était un peu timide, c'était le premier homme que Ciel embrassait. A la fin du baiser, Ciel était un peu rouge et essoufflé. Lice souriait avant de s'appuyer sur son jumeau, amusée. - Alors ? demanda-t-elle aux deux hommes. Où on va ? Sebastian l'embrassa de nouveau en souriant tandis que Ciel lui donna un bisou dans le cou. Elle gémit un peu avant que ses deux amours s'arrêtèrent en se regardant. - Maidstone dans le comté du Kent, Lice, répondit-il la majordome. Cela vous convient, jeune maître ? Le Comte sourit un peu avant de parler à l'oreille de sa jumelle. - Lili ? Elle hocha la tête. Oui, Sebastian ! Je peux te demander une chose, Lili ? demanda-t-il, gêné.
- Oui, bien sûr ! Elle lâcha le cou de Sebastian avant de se retourner vers son double. Il lui murmura à son oreille. - J'en ai envie, Lili, on peut le faire ? Elle lui sourit avant de descendre sa main au niveau de son entrejambe, il était très excité. - Je vois ça, je te propose quelque chose. On ne fait rien mais je te soulage avec ma bouche devant Sebastian, dit-elle doucement. Alors ? Son frère devint rouge avant de jeter d'un coup d'œil à leur majordome, il hocha la tête. Lice le conduit près de l'arbre, le collant entre elle et l'arbre. Elle l'embrassa sur les lèvres avant de descendre doucement vers le bas. La Comtesse arriva au short de son jumeau et défit les boutons, elle le fit glisser jusqu'en bas. Ciel junior (son sexe, je sais, surnom stupide ! XD) était au garde à vous, Lice le caressa doucement, provoquant quelques gémissement de la part de son frère. - Tu en as envie, n'est-ce pas, mon amour ? demanda-t-elle, ironiquement. Sebastian n'en croyait pas ses yeux, Lice ne va pas faire ça devant lui. La jeune Phantomhive donna quelques coups sur son sexe en faisant frémir le Comte. - Lili, s'il te plait, supplia son jumeau, rouge d'excitation. Elle leva la tête en le branlant un peu. - Tu veux quoi, Ciel ? Il faut le dire clairement, dit-elle avec un sourire. Ciel gémit un peu plus sous les caresses de sa sœur. - Prend-le... dans ta bouche, Lili ! dit-il à voix basse, sous le regard ébahi de son majordome qui va voir la scène. - Tu sais qu'il y a Sebastian qui voit..., commença-t-elle avant que son frère lui met son sexe dans la bouche. Elle le laissa faire. - Je sais, Lili ! Suce-moi, je t'en supplie. Elle fit des va-et-vient sous les gémissements de Ciel qui plaisaient au deux démons. Sebastian s'approcha un peu pour mieux voir. Sebas...tian ! dit le Comte entre deux gémissements.
- Oui, jeune maître ? répondit avec une voix un peu raque sous le désir. Il était en face du Chef des Phantomhive tandis que sa jumelle était à genoux en train de faire une gâterie à son jumeau. - Humm... Embrasse-moi ! Le majordome s'exécuta et l'embrassa avec passion. Lice s'appliqua à faire plaisir à Ciel quand elle sentit Sebastian arriver, elle sourit avant de retirer Ciel junior de sa bouche et défaire le pantalon de Sebastian pour faire la même chose à leur majordome. - Sebastian, peux-tu t'occuper un peu de Ciel pendant que je te fais la même chose ? Il n'eut pas de réponse mais une main vint branler son frère, elle put s'occuper de leur diable de majordome. Elle le mit entier dans sa bouche avant de faire des va et viens sous les grognements du démon, sa main rejoignit celle de Sebastian sur le sexe de son jumeau. Après quelques minutes de ce traitement, Elle sentit que Ciel allait jouir, elle sortit le sexe de Sebastian de sa bouche et alla remettre celui de son double avec sa bouche pour recevoir tout. Le Comte se déversa dans sa bouche en gémissant sous la bouche de leur majordome, Lice avala avant de finir avec Sebastian quand elle vit la main de son frère sur le sexe du démon. Elle tapota la main pour qu'elle se retire mais elle vit Ciel se baisser pour être à côté d'elle. Tu fais quoi, mon amour ? Il ne dit rien mais approcha sa langue du pénis de Sebastian avant de donner quelques coups, la Comtesse comprit que son jumeau voulait essayer de faire plaisir à leur majordome et elle l'aida de son côté sous les gémissements de ce dernier. Quelques minutes plus tard, Lice sentit qu'il allait finir et poussa son frère pour recevoir dans sa bouche. - Et moi ? demanda le Comte Phantomhive. - Je partagerais avec toi, après, t'inquiète ! dit-elle avant de recevoir tout et d'embrasser son frère pur qu'il goûte à Sebastian. Elle avala sa part tandis que son frère faisait de même. Alors ? - Pas mauvais ! dit-il avant de se relever et aida sa sœur à faire de même. Sebastian les regarda avec des yeux brillants. Et toi, Sebastian ? - Je n'aurais jamais cru ça de vous, jeunes maîtres, répondit-il avant de se rhabiller et aida le Comte à le faire. - On va rentrer, non ? Il faut préparer les bagages pour les vacances, dit Lice avant d'emmener Ciel par la main et que Sebastian les suivit.
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Grell Sutcliff
 | | La suite!! XD
J'aime beaucoup beaucoup!!
(même si je suis trop jaloux là en fait..Oo *sort*)
Continue ma chérie! Je t'aime!! | |
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Lice Phantomhive
 | | Merci, Grell chéri!  | |
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