Alois II continua de tousser, n’en pouvant pas s’en échapper, incapable physiquement de répondre à Mila vu que la maladie avait reprit ses droits. Il porta une de ses mains à sa bouche, l’autre à son ventre qui lui brûlait véritablement fort. Par automatisme, il lui donna un faible aperçu de la douleur qu’il ressentait : en plus d’une boule dans le ventre qui le tuait tout doucement en avançant plus profondément des sortes de longs piquants similaires à des poignards dans tous le corps, la brûlure du corps lui-même morceau par morceau, et ce, dans tout dans le corps. Alois, bien alarmé, se rua vers son gémeau, sortant de la poche de son gémeau une petite boite de médicaments, lui faisant avaler l’un d’eux de force.
Il déclara tristement à Mila :
« C’est une de ses crises de sa maladie. Grâce au médicament, il ne crachera pas son sang. Cela fait un mois qu’elle s’est déclarée. Mon gémeau meurt de l’intérieur, et cela se répercute aussi chez moi bien que pour le moment, je n’ai rien physiquement. Mon gémeau a atteint ses limites. Il serait mieux dans un lit maintenant, plutôt qu’à se forcer à agir normalement. »