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 Maladie d'Alois II (suite de Promenade, pour Mila)

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Anonymous
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Maladie d'Alois II (suite de Promenade, pour Mila) - Page 6 Vide
Ven 12 Aoû 2011 - 19:15
-Oui, il est vrai qu'il y a des gens comme ça dans la vie, qui se fichent de ce qu'on ressent ou de ce qu'on peut ressentir. Mais tu as raison de ne pas te laisser faire, car il y a bien des gens qui ne savent pas fixer des limites. Mais je ne pense tout de même pas que ces personnes rêvent de ta mort. Ils ne sont sûrement pas aussi cruels. Mais tu peux compter sur moi, je ne vous abandonnerais pas, ni toi ni ton gémeaux, je te le promets. Dit-elle sur un ton inspirant la confiance.

Elle voyait bien à travers la voix d'Alois les douleurs, les peines, les trahisons qu'il avait pu subir et ressentir. Elle ne les comprenait pas serte, mais elle pouvait quand même savoir le mal que cela pouvait faire. Elle le serra plus dans ses bras, et lui murmura doucement :
-N'y pense plus, sinon tu vas encore souffrir, et je ne veux pas de ça, pas maintenant en tout cas...




Alois Trancy
Alois Trancy


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Maladie d'Alois II (suite de Promenade, pour Mila) - Page 6 Vide
Sam 13 Aoû 2011 - 0:01
-Oui, il est vrai qu'il y a des gens comme ça dans la vie, qui se fichent de ce qu'on ressent ou de ce qu'on peut ressentir. Mais tu as raison de ne pas te laisser faire, car il y a bien des gens qui ne savent pas fixer des limites. Mais je ne pense tout de même pas que ces personnes rêvent de ta mort. Ils ne sont sûrement pas aussi cruels. Mais tu peux compter sur moi, je ne vous abandonnerais pas, ni toi ni ton gémeaux, je te le promets.

Alois ne pouvait pas dénier qu’elle avait raison.
La première phrase, il l’avait confirmé maintes et maintes fois.
Traité pire qu’un animal, un objet. De décoration, de plaisir. Cela variait cela des personnes.
Mais dans tous les cas, jamais d’amour, même pas une minime. Juste du mépris.
Qui s’agrandissait plus il avait grandit, évolué dans cette existence qui ne lui réservait aucun cadeau. Son cœur et son âme en garderaient une trace irréversible, là, où était toute la triste réalité. Concernant les personnes n’ayant pas de limites, il les avait rencontrés dans la première catégorie. Aux limites de la boucherie et du crime contre l’humanité et à l’être humain, c’était tout ce qui pouvait en dire.

Concernant sa mort, si, ils étaient si cruels à ce point.
Malheureusement.
C’était encore une fois une très douloureuse vérité qu’il avait dû accepter malgré lui.
Mais Alois pouvait compter sur elle : sa sœur jadis jamais connu rencontrée par hasard.
Elle l’avait accepté dans son triste passé, et aspirait à les voir dans d’autres conditions plus heureuses et moins méprisantes, comme une nouvelle chance.
Son gémeau avait été accepté de même, et même si elle souffrait de le voir ainsi souffrir, elle le soutenait de toutes ses forces. Un énorme geste d’affection.
Un émerveillement se vit dans les yeux d’Alois quand il entendit le mot promesse, et ce qu’il entendit. Oui, il avait bien fait de lui faire confiance.
Une promesse était une promesse.
La trahir reviendrait à perdre la confiance des gémeaux, telle était la règle chez ces derniers.
La confiance était tout ce qu’ils leurs restaient.

Alois sentit l’étreinte de ses bras se resserrer, et elle l’entendit murmurer calmement :


-N'y pense plus, sinon tu vas encore souffrir, et je ne veux pas de ça, pas maintenant en tout cas...

Alois hocha positivement la tête, caressant les cheveux de sa sœur tant aimé, clouant le sujet pour ne pas la blesser davantage ainsi que lui-même vu sa situation.
Il était en dépression nerveuse, et était à la limite de devenir dingue d’où son réflexe d’aller faire ressortir de vieux démons noirs collés à son cœur qui le bouffaient même quand son esprit se vidait de toute pensée.
L’adolescent décrocha un petit sourire rassurant, déclarant d’une voix toute légère bien que triste, montrant bien qu’il était torturé de partout :


« L’état de mon gémeau me rend fou, et bien dépressif. Mais les nouvelles sont bonnes. Il prévoit de guérir d’ici un an. C’est l’objectif qu’il s’est fixé. Mon gémeau se détruit petit à petit avec cette maladie, et de plus en plus, chaque soir, il essaye de se tuer avec acharnement. Sans cesse, je dois l’arrêter et lui donner une raison de rester, de ne pas péter un plomb et faire sa connerie, bien que je sais pertinemment que ce désir est sincère, car je l’ai aussi. Tout le temps. Toutes les secondes de ma vie. Cette maladie me rend dingue….»


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Maladie d'Alois II (suite de Promenade, pour Mila) - Page 6 Vide
Lun 15 Aoû 2011 - 12:26
Les promesses, ces mots que l'on dit aux gens, cette phrase que l'on dit sur un ton rassurant, et que l'on doit respecter quoi qu'il en coûte... Oui, une promesse est une promesse. Celui qui ne la respecte pas ne vaut pas la peine de promettre quelque chose. Si on trahit une promesse, on trahit aussi la personne à qui on l'a faite. C'était la raisonnement de Mila, et normalement, le raisonnement de toutes les personnes faisant des promesses. La jeune fille ne pouvait envisager de trahir une promesse, la seule chose qui rassure une personne lorsqu'on est impuissant face à quelque chose... Et c'était le cas des gémeaux. Leur maladie était bien trop forte, et personne ne pouvait rien contre elle. C'est pourquoi Mila fit cette promesse, c'était la seule chose qu'elle pouvait faire en tout cas...


« L’état de mon gémeau me rend fou, et bien dépressif. Mais les nouvelles sont bonnes. Il prévoit de guérir d’ici un an. C’est l’objectif qu’il s’est fixé. Mon gémeau se détruit petit à petit avec cette maladie, et de plus en plus, chaque soir, il essaye de se tuer avec acharnement. Sans cesse, je dois l’arrêter et lui donner une raison de rester, de ne pas péter un plomb et faire sa connerie, bien que je sais pertinemment que ce désir est sincère, car je l’ai aussi. Tout le temps. Toutes les secondes de ma vie. Cette maladie me rend dingue….»
Mila eut un petit sourire en entendant les premiers mots, percevant bien que Alois II s'accrochait pour ne pas se laisser sombrer par cette maladie. Puis, aux mots suivant de cela, la jeune fille regarda son frère, voyant la mine triste qu'il avait en parlant de ce désir de se tuer.

-Se tuer? Il ne faut pas le laisser faire, il ne faut pas qu'il se laisse avoir par cette maladie et cette envie... Toi non plus d'ailleurs. il est sûr que cette maladie est dure à supporter, et que je ne peux pas savoir ce que vous ressentez, mais il ne faut pas vous laisser sombrer... Et je vous préviens, si un jour je vous retrouve sans vie, je fais pareil. Je ne peux envisager ma vie, ou plutôt ma nouvelle vie, sans vous. Je viens tout juste de vous retrouver, et je ne veux pas vous perdre à nouveau. Mais ça tu le sais déjà.
Un petit sourire triste se dessina sur son visage, tandis qu'elle resserrait son frère contre elle, l'embrassant sur la joue. Elle ne voulait pas les perdre, c'était certains, et elle ne voulait pas le cacher.


Alois Trancy
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Lun 15 Aoû 2011 - 14:59
Alois remarqua le petit sourire de Mila en entendant ses mots, la jeune fille le regardant.

-Se tuer? Il ne faut pas le laisser faire, il ne faut pas qu'il se laisse avoir par cette maladie et cette envie... Toi non plus d'ailleurs. Il est sûr que cette maladie est dure à supporter, et que je ne peux pas savoir ce que vous ressentez, mais il ne faut pas vous laisser sombrer... Et je vous préviens, si un jour je vous retrouve sans vie, je fais pareil. Je ne peux envisager ma vie, ou plutôt ma nouvelle vie, sans vous. Je viens tout juste de vous retrouver, et je ne veux pas vous perdre à nouveau. Mais ça tu le sais déjà.

Oui, il le savait. Il était conscient à quel point ils étaient important aux yeux de leur sœur même si ça faisait à peine quelques heures qu’ils s’étaient retrouvés après une lourde séparation anonyme, du moins pour les gémeaux qui ne l’avaient jamais su jusqu’à son arrivé.
Désormais, Mila n’avait qu’eux.
Ce qu’elle lui dit le toucha cependant au cœur sur ce qu’elle ferait s’ils venaient par mégarde à être tué. Ils la condamneraient de même, et ce n’était pas ce qu’il voulait.
Alois savait pertinemment que mourir refusait à fuir, bien que cette porte fût toujours ouverte. Il ne tenait qu’à eux de la prendre, mais pour les autres, ils disaient non à cette porte.
Enfin, Alois en retardait l’échéance…Alois II avait refusé depuis le départ cette sortie, mais pour d’autres raisons qu’Alois. Il le faisait pour lui comparé à son gémeau créateur.
Le poids de la maladie malheureusement détruisait les barrières internes des gémeaux qui se camouflaient dans leurs fausses illusions afin de ne pas sombrer.
Les brûlures du ventre semblaient une douleur agréable comparé à l’emmêlement de l’esprit provoqué par la maladie de leur intérieur qui voulait les ramener sans l’endroit où ils avaient leur place : la mort.
Alois II tenait à sa façon, s’évadant dans des échappatoires provisoires pour encore vivre.
Alois essayait de tenir le choc, mais ça en devenait de plus en plus dur…
Le gémeau humain devait guérir vite, c’était une obligation.
Sinon, la maladie réussirait son coup, et les gémeaux deviendraient véritablement barjos quand tout serait fini, leur intérieur ayant détruit les derniers éléments qui les empêchaient d’être de véritables armes à tuer.

Alois sentit sa sœur le resserrer contre elle, un sourire triste apparaissant sur son visage, l’embrassant sur la joue pour le rassurer et montrer à quel point elle les aimait.
Elle ne cachait pas sa peur de la perdre, de son refus d’envisager cette possibilité.


« On tiendra le temps qu’il faut, mais on risquera de changer le temps de la maladie…c’est la seule façon pour ne pas sombrer…mais je te rassure, aucun de nous deux ne fera de mal. Je sais que des personnes nous aiment, et on ne peut pas se permettre de les décevoir. »

Il avait parlé dans ses airs à moitié noble qui le caractérisait, dans une voix douce et certaine bien qu’à un peu triste, se rassurant un peu lui-même pour faire un sourire plus joyeux.
La maladie ne faisait qu’enterrer de vieux démons intérieurs pour Alois, cela ne devait pas autant l’affecter vu que son quotidien avait toujours été comme ça…enfin, il avait toujours été comme ça depuis qu’il avait été maudit.
Dans le regard, il eut une certaine jalousie envers son gémeau, qui malgré ses sautes d’humeurs parvenaient à rester en place, et cela rappelait une certaine nostalgie chez Alois.
Il s’était tellement oublié depuis des mois pour penser qu’aux autres qu’il ne savait même plus faire son comportement de protection, ce qui était tragique…
Des deux, ironiquement, c’était encore son gémeau qui s’en était le mieux sortit…


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Ven 19 Aoû 2011 - 10:54
« On tiendra le temps qu’il faut, mais on risquera de changer le temps de la maladie…c’est la seule façon pour ne pas sombrer…mais je te rassure, aucun de nous deux ne fera de mal. Je sais que des personnes nous aiment, et on ne peut pas se permettre de les décevoir. »

Mila fut rassurée de la réponse d'Alois, car il savait que des gens tenaient à eux. Et c'était bien vrai.

-Il est vrai que des gens tiennent à vous, et c'est bien cette raison que vous vous êtes faite.

Elle sourit, mettant sa main sur celle de son frère et la serra. Elle pencha un peu sa tête sur le côté, souriant toujours. Elle prit ensuite son frère dans ses bras, le câlinant bien. Puis elle demanda, toujours un sourire aux lèvres :

-Bon et maintenant, que faisons-nous ?



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Sam 20 Aoû 2011 - 15:30
-Il est vrai que des gens tiennent à vous, et c'est bien cette raison que vous vous êtes faites.

Petit sourire d’Alois, qui vit Mila mettre sa main sur la sienne, la serrant, penchant sa tête sur le côté, un large sourire aux lèvres. Il appréciait les tendresses de sa sœur, lui remerciant pour ce grand geste d’affection. Après un instant de silence, Mila demanda :

-Bon et maintenant, que faisons-nous ?

Alois répondit doucement :

- Parler, bien que je ne sache pas vraiment de quoi. Je n’ai pas envie de quitter mon gémeau des yeux.


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